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Medienmitteilung
Die Schweizer Bischofskonferenz teilt die Sorgen der Initianten der KVI
Gemeinsam mit der Evangelisch-reformierten Kirche Schweiz hat die Schweizer Bischofskonferenz (SBK) eine Stellungnahme «Wirtschaft braucht Menschenrechte» zur Konzernverantwortungsinitiative (KVI) vorbereitet. Darin bringen sie einige grundlegende theologisch-ethische Überlegungen zur Sprache. Die Stellungnahme soll als Orientierungshilfe für die bevorstehende Abstimmung vom 29. November 2020 dienen.
Die Mitglieder der SBK teilen die Sorgen der Initianten der KVI. Diese fordert nämlich eine Selbstverständlichkeit: Konzerne mit Sitz in der Schweiz sollen für verursachte Schäden an Mensch und Natur geradestehen. Sie gründet auf zwei zentralen Anliegen der biblischen Botschaft: Nächstenliebe und Bewahrung der Schöpfung. Die Kirche hat eine Verantwortung, für diese Grundsätze einzustehen – weltweit.
Die KVI schlägt einen politischen Weg vor, um Menschenrechtsverletzungen besonders gegenüber den ärmsten und wehrlosesten Menschen zu bekämpfen. Die Beurteilung der politischen Abstimmungsfrage ist dem Sachverstand der Stimmbürgerinnen und Stimmbürger anheimgestellt. Sie sind ihrem eigenen Gewissen verpflichtet.
Kontaktperson:
Encarnación Berger-Lobato, Leiterin Marketing und Kommunikation SBK, berger-lobato(a)bischoefe.ch<mailto:berger-lobato@bischoefe.ch> oder 079 552 04 40
Link zur Medienmitteilung<http://www.bischoefe.ch/dokumente/communiques/sorgen-der-initianten-der-kvi>
Schweizer Bischofskonferenz (SBK)
Die Schweizer Bischofskonferenz wurde 1863 als die weltweit erste Versammlung der Bischöfe eines Landes gegründet, die regelmässig zusammentrifft, rechtlich strukturiert ist und sich mit kirchlichen Leitungsfunktionen befasst. Als Verein organisiert, ist sie ein Zusammenschluss der katholischen Bischöfe aller Diözesen sowie der Äbte der Territorialabteien der Schweiz. Oberstes Gremium ist die Vollversammlung aller Bischöfe, die jährlich viermal zusammentrifft. www.bischoefe.ch<http://www.bischoefe.ch>
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Diese Medienmitteilung wird nur auf Französisch versandt. Die deutsche Übersetzung folgt im Verlauf der kommenden Woche.
Communiqué de presse
Commentaire sur «Fratelli tutti» - Encyclique du Pape François<http://w2.vatican.va/content/francesco/fr/encyclicals/documents/papa-france…>
Fratelli tutti ou l’encyclique d’un appel universel au dialogue par respect pour la dignité de tout être humain
Une chanson parmi les citations en tout genre...
Citant de manière surprenante une chanson de l’auteur-compositeur brésilien Vinicius de Morales, avec renvoi en note à son disque de 1962 (au no 215), ainsi que le cinéaste Wim Wenders (no 203), le théologien Karl Rahner (no 88), beaucoup saint Thomas d’Aquin, des philosophes reconnus tels un Gabriel Marcel (no 87) ou Paul Ricoeur (no 102) ou même le controversé Georg Simmel (no 150), le futur pape Karol Wojtyla (no 88) encore jeune évêque dans son ouvrage « Amour et Responsabilité », mais aussi un maître de spiritualité tel René Voillaume (no 193), le Pape aime surtout se référer aux Saintes Écritures, à ses prédécesseurs, aux conférences épiscopales du monde entier, à ses propres écrits ou interviews, et en particulier à son ami le grand imam de l’université d’Al Azhar Ahmad Al-Tayyeb, avec il a signé le « document sur la fraternité humaine pour la paix mondiale et la coexistence commune » à Abou Dabi en février 2019. Le Pape conclut d’ailleurs ses réflexions en reprenant leur appel commun.
Mais le Pape dit aussi sa redevance à Martin Luther King, Desmond Tutu, Gandhi, et en particulier Frère Charles de Foucauld qui inspire la prière proposée en conclusion de l’encyclique.
On peut remarquer que trop rares sont les femmes citées, même si leur cause est abordée : « tout comme il est inacceptable qu’une personne ait moins de droits parce qu’elle est une femme, il est de même inacceptable que le lieu de naissance ou de résidence implique à lui seul qu’on ait moins de possibilités d’une vie digne et de développement » (no 121).
Comme un voyage aux sources et ressources chrétiennes du document interreligieux de Abou Dabi
On a vraiment l’impression que le Pape François veut donner le fondement ou la consistance chrétienne des déclarations du document précité d’Abou Dabi mais aussi souligner encore l’aspect social de son encyclique précédente sur les enjeux écologiques, Laudato Sì.
Saint François d’Assise et la parabole du Bon Samaritain analysée en profondeur, donnent le ton, en rappelant au passage que “nous avons tous quelque chose d’un homme blessé, quelque chose d’un brigand, quelque chose de ceux qui passent outre et quelque chose du bon Samaritain » (no 69). Et de rappeler en passant que Jésus lui-même avait été conspué de « samaritain »... (selon Jean 8,48, no 83). Mais le souci du Pape pour une juste compréhension de l’apport chrétien aux problèmes de l’humanité se voit notamment dans les passages sur « le conflit inévitable, les luttes légitimes et le pardon, la vrai victoire, la mémoire » (nos 237-254). Il est question du pardon qui ne quitte pas la justice mais sort de la haine. Puis aux numéros 255-270 sont analysés et rejetées les deux façons « d’éliminer l’autre », celle qui concerne les pays, la guerre, et celle qui concerne les personnes, la peine de mort. Des pages très complètes d’une profondeur remarquable. Il y est même répété, puisque le Pape se cite lui-même: “la prison à perpétuité est une peine de mort cachée » (no 268). Il y va de l’inaliénable dignité de tout être humain. Point. Mais justement un « point », qui dans l’esprit de l’encyclique, pour convaincre, doit rester ouvert au dialogue!
Un examen de conscience pandémique
Cette encyclique est un appel aussi passionné que raisonné lancé à tous les hommes « de bonne volonté, quelles que soient leurs convictions religieuses » (no 56), à tous les peuples, à toutes les institutions et gouvernements, en faveur d’un authentique souci post-pandémique de changement radical pour un respect actif et universel des plus petits, des plus pauvres, des plus exposés aux dangers, dont la dignité ne saurait souffrir aucune exception. « Si la disparition de certaines espèces nous préoccupe, nous devrions nous inquiéter du fait qu’il y a partout des personnes et des peuples qui n’exploitent pas leur potentiel ni leur beauté, à cause de la pauvreté ou d’autres limites structurelles, car cela finit par nous appauvrir tous. » (no 137)
Le Pape constate crûment que nous sommes « analphabètes en ce qui concerne l’accompagnement, l’assurance et le soutien aux plus fragiles et aux plus faibles de nos sociétés développées » (no 64).
Le Saint-Père y décrit ainsi le racisme comme un virus de la pire espèce « qui mute facilement et qui, au lieu de disparaître, se dissimule, étant toujours à l’affût. » (no 97), et l’individualisme radical comme « le virus le plus difficile à vaincre ». (no 105)
L’amour par le dialogue, seule réponse à tous les maux
L’amour est présenté comme le seul fondement solide, non seulement entre personnes, mais aussi entre cultures, religions et nations: « nous avons été créés pour une plénitude qui n’est atteinte que dans l’amour » (no 68). Tout ce qui ne serait qu’un accord ou compromis dont chacun tire profit, reste fragile. Et même les vertus, « sans la charité, n’accomplissent pas strictement les commandements comme Dieu les entend »! (no 91). Car « le plus grand danger ne réside pas dans les choses, dans les réalités matérielles, dans les organisations, mais dans la manière dont les personnes les utilisent. » (no 64) C’est la découverte de l’autre et de la différence qui permet de se compléter et donc de grandir en humanité. Pour cela, le dialogue est la voie royale et certifiée!
Il ne suffit pas de croire en Dieu
Les croyants en prennent pour leur grade: « croire en Dieu et l’adorer ne garantit pas de vivre selon sa volonté » (no 74, voir aussi no 86). Il en donne bien des exemples, tout au long de l’encyclique, qu’il s’agisse de comportements personnels ou collectifs ...
Ainsi, la responsabilité personnelle est aussi soulignée: « tout attendre de nos gouvernants serait puéril » (no 79)! Ainsi « si quelqu’un a de l’eau en quantité surabondante et malgré cela la préserve en pensant à l’humanité, c’est qu’il a atteint un haut niveau moral qui lui permet de se transcender lui-même ainsi que son groupe d’appartenance ». (no 117)
Mais surtout, à la fin de l’encyclique, le Pape rappelle qu’évincer Dieu c’est livrer l’homme aux idoles. (nos 271-284).
La fraternité en humanité ou le socle sur lequel s’appuyer
Si saint François s’est bien adressé à ses frères en religion en leur disant “tous frères” (le titre de l’encyclique est donc resté en toute langue en italien), et si le saint d’Assise s’est comporté envers toute femme et tout homme en frère, jusqu’auprès d’un sultan en Egypte, cela remonte bien sûr à Jésus, nous dit le pape homonyme; car en Matthieu 23,8 Jésus dit bien: « vous êtes tous des frères et soeurs”. (no 95). Autrement dit: vous n’y pouvez rien, c’est ainsi. C’est le fondement même de l’amitié sociale, le fondement de cette humanité qui nous est si commune. La revendication incontournable de mêmes droits pour tout être humain « découle du seul fait de posséder la dignité humaine inaliénable » (no 127). Au point d’appeler « à renoncer à l’usage discriminatoire du terme minorités » (no 131) et à agir plutôt avec et à l’écoute des autres, et notamment des pauvres, que pour eux (no 169). Être tous frères et soeurs est pour ainsi dire la plus belle des fatalités, occasion providentielle de découvrir le bonheur d’aimer et d’être aimé! C’est ce sentiment fondamental d’appartenance à une même famille (no 230) qui ouvre au sens du bien commun. En plus, rien de ce qui est fait par amour ne sera perdu! (no 195)
Fratelli tutti? Un appel qui est mise en garde et prière
Le Pape lance bien cet avertissement : « ou bien nous nous sauvons tous ou bien personne ne se sauve » (no 137)!
Mais il conclut, plein d’espérance, en prière, en nous en offrant une version interreligieuse et l’autre chrétienne.
+ Alain de Raemy
Au nom du présidium de la Conférence des évêques suisses
Fribourg, 4 octobre 2020
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Encarnación Berger-Lobato
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migratio
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Medienmitteilung
Coronabedingtes «Nahweh»: Migrationspastoral in Zeiten des Coronavirus
Anlässlich des Tags der Migrantinnen und Migranten am 27. September 2020 hat migratio, Dienststelle der Schweizer Bischofskonferenz für Migrantinnen, Migranten und Menschen unterwegs, eine kleine Umfrage zur «Migrationspastoral in Zeiten von Covid-19» bei den anderssprachigen Gemeinschaften, die sie auf nationaler Ebene begleitet, durchgeführt. Der folgende Text fasst die wichtigsten Umfrageergebnisse zusammen.
Von: Karl-Anton Wohlwend, Nationaldirektor a.i. migratio, und Mirjam Kromer, wissenschaftliche Mitarbeiterin migratio
Corona hat die katholische Kirche in der Schweiz vor viele neue Herausforderungen gestellt. Darauf haben Seelsorgende und Gläubige in den vergangenen sechs Monaten zahlreiche Antworten – und neue Fragen – gefunden. Kreativität, Einfühlungsvermögen und Experimentierfreude waren gefordert. Neues wurde ausprobiert. Vieles gelang, manches nicht.[1] Die Situation in den anderssprachigen Gemeinschaften (Missionen / Seelsorgestellen) war in vielerlei Hinsicht ähnlich wie in den «Schweizer» Ortspfarreien. Seelsorge arbeitet adressat*innen- und bedürfnisorientiert. Bei den anderssprachigen Gemeinschaften prägt der Migrationshintergrund die (spirituellen) Bedürfnisse der Mehrheit ihrer Mitglieder. Einsamkeit, beispielsweise, ist nicht migrationsspezifisch. Sie kann aber durch die Migrationsgeschichte eines Menschen verschärft werden, wenn die Familie in weiter Ferne lebt oder wenn Sprachbarrieren eine isolierende Wirkung entfalten. Diesem Umstand haben Seelsorgende in anderssprachigen Gemeinschaften entsprechend Rechnung zu tragen.
Digital mobil aufgrund der eigenen Migrationsgeschichte
Schon vor der Coronakrise wurden Skype, Whatsapp und soziale Medien von vielen Menschen in den anderssprachigen Gemeinschaften genutzt, um mit Angehörigen und Freund*innen in der Ferne in Verbindung zu bleiben. Sie sind in dieser Art des Austauschs geübt und oft bis ins hohe Alter digital kompetent. Die spirituelle Dimension ist aber auch hier neu. Aus einer Mission hiess es: «Die physische Distanz brachte uns spirituell einander noch näher, verbunden durch das tägliche Rosenkranzgebet, Mittwochsandachten und gemeinsame Gottesdienste» – alles online, alles live. Und deswegen auch: alles gemeinsam.
(Als) Gemeinschaft feiern
Bei den anderssprachigen Missionen und Seelsorgestellen fällt auf, wie stark der Aspekt der Gemeinschaft essenzieller Bestandteil ihrer Glaubenspraxis ist, weit über den Gottesdienst und das gemeinsame Gebet hinaus. Die Gemeinschaften feiern nicht nur zusammen, sie feiern auch die Gemeinschaft selbst. Dies zeigt sich im – eigentlich üblichen – vielfältigen Rahmenprogramm zu den Gottesdiensten, das oft einen ganzen Tag füllt. Der Wegfall dieser Begegnungs- und Gemeinschaftsorte ist daher für viele Mitglieder der anderssprachigen Gemeinschaften besonders schmerzlich: «Wir vermissen es sehr». Diesem «Nahweh» wurde verschiedentlich begegnet, um die Menschen nicht allein zu lassen und um das Gemeinschaftsgefühl lebendig zu halten, zum Beispiel durch Online-Gemeindetreffen oder Online-Kaffeestuben. Manchenorts ist die Gemeinschaft so sogar gewachsen: Die sog. «Minoritäten-Missionen» werden von je einem Priester betreut, der an unterschiedlichen Orten in der Schweiz regelmässig mit ihnen Gottesdienste feiert. Über die gestreamten und interaktiv gestalteten Gottesdienste, Katechesen oder Einkehrtage vor Ostern haben sich die Gläubigen, die sonst an verschiedenen Orten feiern, kennengelernt. Andere, die den Kontakt zu einer Mission verloren hatten, haben ihn über das Online-Angebot wiedergefunden.
Nicht erkrankt und dennoch betroffen
Manche Gläubige der anderssprachigen Gemeinschaften haben die Auswirkungen des Coronavirus auf besonders einschneidende Weise erfahren müssen. Da sind beispielsweise die Sans-Papiers, vor allem in Genf: Neben die Sorge vor Ansteckung traten häufig der Verlust der Arbeit und die Unmöglichkeit, aufs Amt zu gehen. Da sind zum anderen Menschen mit Wurzeln in Italien, Spanien oder Lateinamerika: Fast jeder kennt jemanden, der erkrankt ist. Viele haben einen Angehörigen oder einen Menschen aus dem Freundeskreis verloren. Das Virus war auf einmal spürbar nah. Daher kehren sie nur mit grosser Vorsicht in die Kirchenbänke zurück. Die Seelsorgenden dieser Gemeinschaften haben meist einen ähnlichen Migrationshintergrund wie die übrigen Mitglieder der Sprachgemeinschaft. Sie teilen daher diesen Erfahrungshorizont und können auf daraus entstehende Bedürfnisse eingehen.
Gemeinsam unterwegs in die Zukunft
Bei den anderssprachigen Gemeinschaften nimmt migratio eine grosse Dankbarkeit für das Miteinander-unterwegs-Sein wahr – gerade in dieser Zeit. Die vergangenen Monate seien, so ein Missionar, in mancherlei Hinsicht lehrreich gewesen. Vielen sei bewusster geworden, dass wir uns nicht selbst genügen, sondern den Anderen, das Gegenüber brauchen: der Mensch kann nur in Gemeinschaft mit anderen existieren. Aus dieser Perspektive öffnet Corona Chancen für neue Begegnungen mit anderssprachigen Gemeinschaften oder mit Ortspfarreien sowie für ein vermehrtes Miteinander bei gleichzeitig wertschätzendem Nebeneinander. migratio unterstützt diesen Weg des vermehrten Miteinanders in den kommenden Jahren mit einem Projekt. Daraus kann Neues entstehen.
[1] Vgl. dazu z. B. die laufende ökumenische und internationale Studie zum kirchlichen Handeln in der Coronazeit, mit besonderem Fokus auf den Aspekt der «Digitalität»: Contoc (https://www.contoc.org/de/contoc).
Kontaktperson:
Karl-Anton Wohlwend, Nationaldirektor a.i. migratio, 079 339 81 61, karl‑anton.wohlwend(a)migratio.ch<mailto:karlanton.wohlwend@migratio.ch>
Freiburg, 24.9.2020
«migratio und Migrationspastoral in der Schweiz»
Knapp 40 % der katholischen Gläubigen in der Schweiz haben einen migrantischen Hintergrund. Sie alle sind Glieder der einen vielsprachigen und kulturell vielfältigen Kirche und prägen das kirchliche Leben auf unterschiedlichste Art mit. Um der Mehrsprachigkeit und der kulturellen Vielfalt der katholischen Gläubigen in der Schweiz Rechnung zu tragen, stehen aktuell ca. 110 anderssprachige Missionen oder Seelsorgestellen für ihre pastorale Betreuung zur Verfügung.[2] Ein Grossteil von ihnen ist auf kantonaler oder lokaler Ebene organisiert, einige auf nationaler Ebene.
Als Dienststelle der Schweizer Bischofskonferenz (SBK) ist migratio für die Sicherstellung einer adäquaten Pastoral für Migrantinnen und Migranten auf nationaler Ebene zuständig. migratio trägt auch Mitverantwortung für die Seelsorge in Bundesasylzentren, die Seelsorge der Fahrenden sowie neu für die Seelsorge der Schaustellenden und Zirkusleute.
Diese Vielfalt (in) der Kirche ist Chance und Herausforderung zugleich. Gemeinsam mit der Römisch-katholischen Zentralkonferenz hat die SBK deswegen ein Gesamtkonzept zur Zukunft der Migrationspastoral erarbeitet. Es soll als Grundlage dienen, um in den nächsten Jahren gemeinsam auf ein vermehrtes Miteinander bei wertschätzendem Nebeneinander hinzuarbeiten.
«Katholische Fahrendenseelsorge»
migratio ist neben der Seelsorge für Migrant*innen auch zuständig für Menschen unterwegs. Dazu gehören die katholischen Fahrenden. Die Jenischen sind Schweizer*innen mit (halb-)nomadischer Kultur und eine offizielle anerkannte Minderheit in der Schweiz. Die Coronakrise hat sie besonders getroffen: Viele von ihnen waren von Arbeitsausfall betroffen. Zudem hat sich die ohnehin oft schwierige Standplatzsituation wegen der notwendigen Distanzregeln zusätzlich verschärft. Eine weitere Herausforderung ist das aktive Missionieren mancher religiöser Bewegungen.
2 Vgl. Regula Ruflin, Samuel Wetz, Patrick Renz, Daniel Kosch, Migrantenpastoral in der Schweiz. Auswertung einer Erhebung der Ist-Situation und ihrer Beurteilung. Socialdesign ag im Auftrag des Kooperationsrates von SBK und RKZ, Bern 2018.
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Encarnación Berger-Lobato
Leiterin Marketing und Kommunikation
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[1] Vgl. dazu z. B. die laufende ökumenische und internationale Studie zum kirchlichen Handeln in der Coronazeit, mit besonderem Fokus auf den Aspekt der «Digitalität»: Contoc (https://www.contoc.org/de/contoc).
[2] Vgl. Regula Ruflin, Samuel Wetz, Patrick Renz, Daniel Kosch, Migrantenpastoral in der Schweiz. Auswertung einer Erhebung der Ist-Situation und ihrer Beurteilung. Socialdesign ag im Auftrag des Kooperationsrates von SBK und RKZ, Bern 2018.
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Medienmitteilung
Gabrielle Desarzens gewinnt den katholischen Medienpreis 2020 der Schweizer Bischofskonferenz
Die Journalistin Gabrielle Desarzens gewinnt mit ihrem Radiobericht «Cul-de-sac bosnien»<https://www.rts.ch/play/radio/hautes-frequences/audio/cul-de-sac-bosnien?id…> auf RTS den diesjährigen Medienpreis der Schweizer Bischofskonferenz. Der katholische Medienpreis ist mit 4000 Franken dotiert.
In «Cul-de-sac bosnien»<https://www.rts.ch/play/radio/hautes-frequences/audio/cul-de-sac-bosnien?id…> schildert Desarzens mit Einfühlungsvermögen, grossem Respekt und vorurteilslos die Situation der Migrantinnen und Migranten, welche in Bosnien an der Schengen-Grenze zu Kroatien «gestrandet» sind. Diese Reportage informiert einerseits über diese «Sackgassen-Situation» verschiedener Betroffenen und strahlt andererseits eine christliche Neugierde für den Alltag und Aussichten dieser Flüchtlinge aus. Der Journalistin gelingt es, ein realitätsnahes Bild zu vermitteln – ohne Akteure oder Politik zu verurteilen. Es ist spürbar, dass ihr das Schicksal der Migrantinnen und Migranten am Herzen liegt. «Cul-de-sac bosnien»<https://www.rts.ch/play/radio/hautes-frequences/audio/cul-de-sac-bosnien?id…> ist Teil der Reihe «Hautes fréquences» von RTSReligion.
Die Sendung ermöglicht – so die Jury –, viele verschiedene und unterschiedliche Perspektiven auf diese akute und uns alle betreffende Problematik zu erhalten. Sie strahlt eine grosse Professionalität aus und basiert auf solidem journalistischem Handwerk.
Spezielle Erwähnung für die Inszenierung «Ich habe den Himmel gegessen» von Christine Lather und Felix Huber
Die Jury hat ebenfalls entschieden, das Schauspiel «Ich habe den Himmel gegessen»<https://www.himmelgegessen.ch/> mit einer speziellen Erwähnung auszuzeichnen. Die Auswahl, Vertonung und Interpretation von Originaltexten Silja Walters überzeugten die Jury. Christine Lather (Textbuch, Schauspiel und Gesang) und Felix Huber (Komposition und Begleitung am Klavier) gelingt es, in einem gut einstündigen Programm das Leben und die Spiritualität der Nonne und Lyrikerin, ihre lebenslange Suche nach Worten, wie man über Gott reden kann, einzufangen und zu vermitteln. Die Inszenierung stellt eine sehr gelungene künstlerische Bearbeitung der Lyrik und Schriften von Silja Walter dar. Die Darbietung ist von grosser Qualität und kann weitere Künstler*innen dazu animieren, sich vermehrt mit Glaubensfragen auf ihre persönliche Art und Weise auseinanderzusetzen. Für die Jury, welche ausschliesslich die Hörfassung auf CD beurteilt hat, wurde «der Monolog mit Liedern» derart fesselnd umgesetzt, so dass dem/der Hörer*in ein «anschaulicher» Zugang zum Leben in einer Klostergemeinschaft geschildert wird.
Die spezielle Erwähnung ist mit 1000 Franken dotiert.
Die Jury
Die Jury des katholischen Medienpreises 2020, unter dem Vorsitz von Anita Capaul, Geschäftsführerin der Chasa Editura Rumantscha, setzt sich zusammen aus:
- Medienbischof Alain de Raemy, Weihbischof des Bistums Lausanne, Genf und Freiburg
- Davide Adamoli, Journalist und Archivar, Bistum Lugano
- Encarnación Berger-Lobato, Leiterin Marketing und Kommunikation Schweizer Bischofskonferenz
- Bernard Litzler, Direktor Katholisches Medienzentrum Lausanne
- Harry Ziegler, Chefredaktor Zuger Zeitung
Preisverleihung
Die Preisverleihung findet öffentlich statt
am 16. November 2020, um 18.00 Uhr
im Pfarreizentrum Dreifaltigkeit in Bern, in der Rotonda
Taubenstrasse 4, 3011 Bern
(Orientierungskarte<https://www.kathbern.ch/fileadmin/user_upload/Pfarreien/Dreifaltigkeit/Doku…>: Eingang Sulgeneckstrasse verwenden
Die Preisverleihung wird in Anwesenheit von Weihbischof Alain de Raemy stattfinden, welcher die Laudatio halten wird.
Programm:
18.00 Uhr Aufführung «Ich habe den Himmel gegessen»
19.15 Uhr Apéro
19.45 Uhr Preisverleihung Katholischer Medienpreis 2020 und Laudatio
Anmeldung unter info(a)bischoefe.ch<mailto:info@bischoefe.ch>.
Gabrielle Desarzens arbeitet als Radiojournalistin – in erster Linie für Radio Télévision Suisse RTS. Vorher hatte sie in der Migrationsfrage verschiedene Reportagen über unbegleitete minderjährige Flüchtlinge gemacht: 2015 in Sizilien und Lampedusa; 2016 im «Dschungel» von Calais sowie 2017 und 2018 in Griechenland auf der Insel Lesbos.
Christine Lather ist als Sängerin und Schauspielerin seit 30 Jahren auf der Bühne tätig. Während ihrer intensiven Vorbereitungszeit zum Stück «Ich habe den Himmel gegessen», ist eine tiefe Freundschaft zu den Frauen im Kloster Fahr entstanden, (www.christinelather.ch<http://www.christinelather.ch>).
Felix Huber ist im Bereich Jazz, Klezmer, World als Komponist, Pianist und Improvisator tätig. Er schreibt Musik für klassische sowie Tango-Ensembles und hat verschiedene Kompositionspreise gewonnen (www.felixhuber.ch<http://www.felixhuber.ch> ).
Der Katholische Medienpreis der Schweizer Bischofskonferenz
Als Zeichen der Anerkennung und Wertschätzung verantwortungsvoller Medienarbeit schreiben die Schweizer Bischöfe den Katholischen Medienpreis aus. Sie möchten damit Werke und Initiativen auszeichnen, welche der Botschaft des Evangeliums ausserhalb der kircheneigenen Medien Ausdruck verleihen.
Link zum Mediencommuniqué<http://www.bischoefe.ch/content/view/full/14469>
Encarnación Berger-Lobato
Leiterin Bereich Marketing und Kommunikation
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Lesbos: Alle Möglichkeiten ausschöpfen
Die 329. ordentliche Vollversammlung der Schweizer Bischofskonferenz (SBK) fand vom 14.-16. September 2020 in Delsberg, im Centre Saint-François, statt.
Alle Möglichkeiten ausschöpfen
Seit dem Osterappell der drei Landeskirchen<http://www.bischoefe.ch/dokumente/communiques/osterappell-2020> für die Asylsuchenden der griechischen Inseln hat sich mit dem Brand im Flüchtlingslager Moria die Situation dieser Schutzsuchenden auf Lesbos nochmals dramatisch verschlechtert. Die Bischöfe drücken ihre tiefe Betroffenheit über das Leid aus, das sich vor unseren Augen abspielt. Gleichzeitig begrüssen sie die Bereitschaft des Bundesrates, 20 Jugendliche aus dem Lager Moria rasch in der Schweiz aufzunehmen. Auch haben sie mit Zuversicht davon Kenntnis genommen, dass einige Schweizer Städte bereit sind, weitere Geflüchtete aufzunehmen und rufen kirchliche Einrichtungen dazu auf, die Aufnahme von Geflüchteten aus Moria zu prüfen und nach ihren Möglichkeiten Unterkunft und Begleitung anzubieten. Obwohl die Aufnahme auf internationaler Ebene angegangen werden muss und nicht von einem Land allein zu lösen ist, erachtet die SBK jeden noch so kleinen Schritt für wichtig, welcher die Schweiz im Rahmen ihrer Möglichkeiten von sich aus gehen kann. Die SBK dankt allen Menschen ganz herzlich, die sich konkret für die Geflüchteten auf der Insel Lesbos einsetzen und darauf hinwirken, dass Menschen in Würde leben können.
Instruktion der Kongregation für den Klerus
Die Instruktion «Die pastorale Umkehr der Pfarrgemeinde im Dienst an der missionarischen Sendung der Kirche» vom 29. Juni 2020 hat zu verschiedenen Reaktionen geführt. Die Realitäten in den einzelnen Diözesen sind zwar sehr unterschiedlich, dennoch gibt es Grundfragen, die sich überall stellen. Obwohl die katholische Kirche in der Schweiz auf eine grosse Erfahrung in der Zusammenarbeit von Geweihten und Laien im kirchlichen Dienst zurückblicken kann, gibt es in diesem Bereich auch ungeklärte oder schwierige Fragen. Die Herausforderung, wie die Spannung zwischen einem eingespielten Alltag und den universalkirchlichen Vorgaben gelöst werden kann, bleibt auch nach Veröffentlichung der Instruktion aus Rom bestehen.
Die Mitglieder der SBK werden diese wichtige Frage ‑ auch im Hinblick auf den Besuch aller Bischöfe in Rom (Ad-Limina-Besuch) von Ende Januar 2021 vertieft diskutieren.
Sexuelle Übergriffe im kirchlichen Umfeld
Die SBK hat die Statistik 2019<http://www.bischoefe.ch/dokumente/dossiers/sexuelle-uebergriffe-im-kirchlic…> der bei den diözesanen Fachstellen eingegangenen Meldungen zu sexuellen Übergriffen im kirchlichen Umfeld zur Kenntnis genommen. Sechs Übergriffe bzw. fünf Meldungen betrafen Fälle, welche nach dem Jahre 2000 stattgefunden haben. In keinem Fall bestand ein Abhängigkeitsverhältnis.
Zudem wurden 29 verjährte Fälle gemeldet, wovon sich 21 zwischen 1950 und 1980 und 8 zwischen 1981 und 2000 ereignet haben.
Die Statistik zeigt, dass die seit 2002 getroffenen Massnahmen Wirkung zeigen. Die Anzahl der erfolgten Meldungen bewegt sich im üblichen Rahmen der letzten Jahre (nicht enthalten sind die Fälle, welche bei der CECAR<http://cecar.ch/wordpress/> gemeldet und von dieser bearbeitet werden).
Die diözesanen Fachgremien fordern die Opfer erneut auf, sich entweder bei ihnen oder bei den kantonalen Opferhilfestellen zu melden.
Wiederwahl des Generalsekretärs SBK
Die SBK hat ihren amtierenden Generalsekretär der SBK, Dr. Erwin Tanner, für weitere drei Jahre wiedergewählt. Die Mitglieder der SBK bedanken sich für die gute Zusammenarbeit und wünschen ihm für seine vierte Amtszeit weiterhin viel Freude.
Begegnung mit dem Apostolischen Nuntius
Zum traditionellen Besuch des Apostolischen Nuntius in der Schweiz hat die SBK Erzbischof Dr. Thomas Edward Gullickson sowie Nuntiaturrat Mgr. Dr. José Manuel Alcaide Borreguero empfangen.
Ernennungen
Die SBK hat Karl-Anton Wohlwend, Nationaldirektor a.i. der Dienststelle migratio, als offiziellen Vertreter der SBK bei der International Catholic Migration Commission (ICMC)<https://www.icmc.net/> ernannt.
Zudem hat die SBK für das Fachgremium „Sexuelle Übergriffe im kirchlichen Umfeld“ mit Frau Regula Schwager, Eidgenössisch anerkannte Psychotherapeutin und Psychologin MA, ein neues Mitglied ernannt. Sie ist Co-Leiterin von Castagna, einer Beratungsstelle für sexuell ausgebeutete Kinder und Jugendliche und in der Kindheit ausgebeutete Frauen und Männer.
Wallfahrt zu Unserer Lieben Frau von Vorbourg
Die Bischöfe unternahmen vom Centre Saint-François aus eine gemeinsame Wallfahrt zum nahe gelegenen Heiligtum von Vorbourg. Es ist der älteste Marienwallfahrtsort im Jura. Der Eucharistiefeier stand Bischof Felix Gmür vor.
Coronabedingt fand die Feier unter Ausschluss der Öffentlichkeit statt.
Die Medienmitteilung von SBK und SKF zur Begegnung vom 15.09.2020 finden Sie hier<http://www.bischoefe.ch/dokumente/communiques/wir-stehen-am-anfang-des-weges>
Delsberg, 16. September 2020
Link zur Mediencommuniqué <http://www.bischoefe.ch/dokumente/communiques/329-ov-delemont>
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Encarnación Berger-Lobato
Leiterin Marketing und Kommunikation
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Medienmitteilung
Wir stehen am Anfang des Weges
Die Schweizer Bischofskonferenz (SBK), eine Delegation des Frauenrates der SBK und eine Delegation des Schweizerischen Katholischen Frauenbundes (SKF) trafen sich am 15. September 2020 anlässlich der 329. ordentlichen Vollversammlung der SBK in Delémont/JU. Die Begegnung fand im Rahmen des Prozesses «Gemeinsam auf dem Weg zur Erneuerung der Kirche» statt. Von den gemeinsam von SBK und SKF anvisierten Zielen konnten nicht alle erreicht werden. Fruchtbar war die Begegnung trotzdem.
Die SKF-Delegation setzte sich aus Frauen aus dem ganzen Verband zusammen. Die Ortsvereine vertraten Annemarie Mattioli (Frauenverein, Horgen), Christiane Talary (Frauen für Frauen, Leimbach) und Ursi Camenzind (Frauengemeinschaft Muolen). Catherine Ulrich und Marie-Christine Conrath nahmen als Einzelmitglieder teil und vertraten die Frauen des Netzwerks «Le Réseau des femmes en Église», das sich im Bistum Genf-Lausanne-Fribourg engagiert. Miriam Christen-Zarri nahm als Präsidentin des Kantonalverbands Uri teil. Angelika Hecht repräsentierte den Kantonalverband Zürich, Jacqueline Bollhalder den Kantonalverband St. Gallen-Appenzell. Die Perspektive des Dachverbandes brachten Präsidentin Simone Curau-Aepli, Vorstandsmitglied Iva Boutellier sowie Silvia Huber, SKF-Beauftragte für Theologie, ein. Die Delegation der SBK bestand aus ihren Mitgliedern sowie zwei Vorstandsmitgliedern des von der SBK eingesetzten Frauenrates, vertreten durch Marlies Höchli-John und Claudia Ibarra Arana.
Ein historisches Treffen
Wenngleich jeder der Bischöfe zum Thema der Erneuerung schon im Dialog mit Frauen und Männern steht und Vertreterinnen des SKF mit einzelnen Bischöfen Gespräche führten, insbesondere mit Bischof Denis Theurillat, zuständig für das Thema Frauen in der Kirche und Präsident des SBK-Frauenrates, so sei dieses historische Treffen von SBK, SKF und Frauenrat eine Premiere, betonte Bischof Felix Gmür. Die Delegationen waren sich einig, dass eine Erneuerung ohne den Einbezug von Frauen nicht möglich sei, wenngleich die Positionen des SKF nicht die Haltungen aller Frauen in der katholischen Kirche repräsentierten. Vier Workshops, basierend auf Zitaten aus dem nachsynodalen apostolischen Schreiben «Querida Amazonia» von Papst Franziskus bildeten das Herzstück der Begegnung in Delémont. Die Quintessenz der Passagen 99 bis 103, die von der Stellung und Bedeutung der Frau in der katholischen Kirche handeln, wurde von einer gemeinsamen Vorbereitungsgruppe der SBK und des SKF in vier Sätzen zusammengefasst, in gemischten Gruppen diskutiert und anschliessend im Plenum zusammenfassend vertieft. Bedauert wurde die Abwesenheit von Weihbischof Denis Theurillat, der die Vorbereitung der Begegnung wesentlich mitgetragen hatte, sich jedoch am Vortag bei einem Sturz den rechten Arm verletzte und deswegen nicht an der Begegnung teilnehmen konnte.
Ziele noch nicht erreicht, dennoch zielführend
SBK und SKF nutzten das Treffen, um sich besser kennenzulernen und ins Gespräch zu kommen. Die Workshops hätten gezeigt, dass SBK und SKF gewillt sind, der Perspektive der anderen mit wohlwollender Neugierde zu begegnen. «Die Tatsache, dass dieser Tag stattgefunden hat, war wichtig. Einander wahrzunehmen, im Verständnis wie auch im Unverständnis, ist wichtig», meinte der Präsident der SBK, Bischof Felix Gmür. Die Erwartungen an eine aufbauende und lebendige Kirche, in der sich alle gleichwertig, respektvoll und offen begegnen, wurden diskutiert, konnten aber noch nicht konkretisiert werden. Das Gleiche gilt für die Formulierung von Erwartungen an den Prozess «Gemeinsam auf dem Weg für die Erneuerung der Katholischen Kirche in der Schweiz» und den Umgang damit.
Sowohl die nächsten Schritte bei der Fortsetzung des Dialogs zwischen SBK und SKF wie auch der Erfolg des angestrebten Erneuerungsprozesses würden daran gemessen werden, wie die SBK mit den neuen Erkenntnissen umgehe, prognostizierte Miriam Christen-Zarri. Eine gemeinsame Medienkonferenz sowie ein bereits geplantes Auswertungsgespräch Mitte Oktober sind gesetzte Meilensteine auf dem weiteren gemeinsamen Weg.
Stimmen von Frauen als Stimmen der Mit-Entscheidung
Es herrschte weitgehend Konsens darüber, dass die Frauen in Dienstämtern und vor allem in Leitungsfunktionen innerhalb der römisch-katholischen Kirche mehr Platz einnehmen müssen. Alle Teilnehmenden würdigten, dass dies in einzelnen Bistümern schon konkret umgesetzt werde. Der SKF hob hervor, dass diese Entwicklung weiter gefördert werden müsse, «weil die Leitungsgewalt kirchenrechtlich an das Weiheamt gebunden ist. Frauen (und nicht geweihte Männer) werden dadurch von Entscheidungsprozessen ausgeschlossen», so Iva Boutellier.
In den Gesprächen wurde auch verschiedentlich die Herausforderung erwähnt, auf diesem Gebiet sowohl in der Treue zur Offenbarung in den Heiligen Schriften und ganz besonders in den Worten und Taten Jesu als auch im Rahmen der universalkirchlichen Vorgaben eine Erneuerung der Kirche zu bewirken. Simone Curau-Aepli mahnte die Bischöfe, ihre Verantwortung wahrzunehmen, um für gesunde und zeitgemässe Strukturen in der Kirche zu sorgen.
Den Schmerz der Frauen anerkennen
Den Vorwurf, der SKF sei primär an der Machtfrage interessiert, bestritten seine Vertreterinnen mit Vehemenz. Ihr Antrieb sei der Wille, Verantwortung in der römisch-katholischen Kirche zu übernehmen. Erneuerung führe aus ihrer Sicht an einer partizipativen Gestaltung der Kirche nicht vorbei. Viele Frauen schmerze es zudem tief, nur als Bittstellerinnen oder Beraterinnen zu fungieren. Die Frauen dürfen sich nicht damit zufriedengeben, dass Männer über Frauen sprechen, statt sie mit ihrer eigenen Stimme sprechen zu lassen. «Solange wir nicht über die Verletzungen der Vergangenheit sprechen, können wir nicht in eine gesunde gemeinsame Zukunft starten. Es braucht viel Empathie», befand Karin Ottiger, Co-Geschäftsleiterin SKF.
Verbindlichkeiten für den Wandel
«Die Bistümer können nicht darauf hoffen, dass alles unverändert bleibt», so Bischof Charles Morerod, «denn wir sind nicht mehr glaubwürdig. Wir müssen gemeinsam umkehren. Wir brauchen einen Wandel. Ich muss aber auch eingestehen, dass ich im Moment nicht weiss, wie und was wir konkret ändern könnten.»
Echter Dialog bedeute, ein Risiko einzugehen und klüger zu werden. Dazu seien Raum für Ideen und Mut zu Experimenten nötig, so die Kommunikationsspezialistin Gaby Wyser, die die Begegnung moderierte. «Heute sind alle von uns das Risiko eingegangen, klüger zu werden. Diese Kultur wollen wir gemeinsam weiter pflegen, uns wieder treffen und überprüfen, wo und wie wir uns konkret für diese Erneuerung weiter einsetzen», ermutigte Simone Curau-Aepli.
Kontaktadressen für Medienanfragen
* Encarnación Berger-Lobato, Leiterin Marketing und Kommunikation SBK, berger-lobato(a)bischoefe.ch<mailto:berger-lobato@bischoefe.ch>, 079 552 04 40
* Marlies Höchli-John, Vorstand Frauenrat der SBK, mhoechli(a)web.de<mailto:mhoechli@web.de>, 076 490 15 88
* Simone Curau-Aepli, SKF-Präsidentin, simone.curau(a)frauenbund.ch<mailto:simone.curau@frauenbund.ch>, 076 430 37 69
* Sarah Paciarelli, SKF Kommunikation, sarah.paciarelli(a)frauenbund.ch<mailto:sarah.paciarelli@frauenbund.ch>, 078 611 511 7
Impressionen der Tagung finden Sie hier.<http://www.bischoefe.ch/content/view/full/14446>
Schweizer Bischofskonferenz (SBK)
Die Schweizer Bischofskonferenz wurde 1863 als die weltweit erste Versammlung der Bischöfe eines Landes gegründet, die regelmässig zusammentrifft, rechtlich strukturiert ist und sich mit kirchlichen Leitungsfunktionen befasst. Als Verein organisiert, ist sie ein Zusammenschluss der katholischen Bischöfe aller Diözesen sowie der Äbte der Territorialabteien der Schweiz. Oberstes Gremium ist die Vollversammlung aller Bischöfe, die jährlich viermal zusammentrifft. www.bischoefe.ch<http://www.bischoefe.ch>
SKF Schweizerischer Katholischer Frauenbund
Der SKF Schweizerischer Katholischer Frauenbund ist mit 130‘000 Mitgliedern,
18 Kantonalverbänden und 600 Ortsvereinen der grösste konfessionelle Frauendachverband der Schweiz. Der SKF engagiert sich für die Rechte aller Frauen in Gesellschaft, Kirche, Wirtschaft und Politik. www.frauenbund.ch<http://www.frauenbund.ch/>
Freiburg und Luzern, 18. September 2020
Link zur Mediencommuniqué <http://www.bischoefe.ch/content/view/full/14467>
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Encarnación Berger-Lobato
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Einladung Medienkonferenz
Die Schweizer Bischofskonferenz (SBK) lädt Sie im Anschluss an die 329. ordentliche Vollversammlung vom 14.-16. September 2020 in Delsberg (Centre St-François) zu einer Medienkonferenz ein. Diese findet statt am
Freitag, 18. September 2020, um 10.30 Uhr
im Pfarreizentrum Dreifaltigkeit in Bern, in der Rotonda statt
Taubenstrasse 4, 3011 Bern
(Orientierungskarte<https://www.kathbern.ch/fileadmin/user_upload/Pfarreien/Dreifaltigkeit/Doku…>: Eingang Sulgeneckstrasse verwenden
Anwesend werden sein:
Bischof DDr. Felix Gmür, Bischof von Basel und Präsident SBK
Weihbischof Denis Theurillat, Mitglied SBK und Präsident Frauenrat der SBK
Marlies Höchli-John, Vorstand Frauenrat der SBK
Dr. Erwin Tanner, Generalsekretär SBK
Simone Curau-Aepli, Präsidium SKF Schweizerischer Katholischer Frauenbund
Miriam Christen-Zarri, Vorstand SKF Schweizerischer Katholischer Frauenbund
Iva Boutellier, Vorstand SKF Schweizerischer Katholischer Frauenbund
Moderation:
Dr. Encarnación Berger-Lobato, Leiterin Marketing & Kommunikation SBK
Hauptthema:
Begegnung zum Thema «Gemeinsam auf dem Weg zur Erneuerung der Kirche» zwischen der SBK, dem Frauenrat der SBK und dem Schweizerischen Katholischen Frauenbund am
15. September 2020 in Delsberg
Alle Referenten*Referentinnen stehen nach der Medienkonferenz für Kurzinterviews gerne zur Verfügung. Die Kurzinterviews werden in derselben Reihenfolge ermöglicht, in welcher sich die Medienschaffenden hierfür angemeldet haben. Sie erleichtern somit die Organisation, indem Sie sich per E-Mail oder telefonisch bis spätestens am 17. September 2020 für die Medienkonferenz anmelden (Tel. +41 26 510 15 15, secretariat(a)conferencedeseveques.ch<mailto:secretariat@conferencedeseveques.ch?subject=Anmeldung%20Medienkonferenz>) und uns auch gleich mitteilen, ob Sie an einem Kurzinterview interessiert sind. Herzlichen Dank!
Freundliche Grüsse
Dr. Encarnación Berger-Lobato
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Medienmitteilung
Brückenbauer und Glaubensvorbilder: Die Evangelisch/Römisch-katholische Gesprächskommission ERGK legt mit «Heilig» eine spannende Publikation über Heilige vor
Die ERGK begibt sich mit einem Büchlein zum Thema «Heilig» auf ein ökumenisch spannendes und neues Terrain. Sie will damit auf die Brückenfunktion der Heiligen aufmerksam machen. Die Publikation enthält sechs sehr unterschiedliche Lebensbilder. Sie zeigen, wie wichtig authentische Vorbilder für den Glauben und die Kirche sind. Die Fotoporträts im zweiten Teil wollen sichtbar machen, dass Menschen nicht durch ihre Taten zu Heiligen werden, sondern durch die Liebe und die Schätze, die Gott in sie hineingelegt hat.
Die Idee
Im evangelisch/römisch-katholischen Dialog ist das Ansprechen konfessionstrennender Themen eine heikle Angelegenheit. Die Erfahrung hat in den letzten Jahren jedoch gezeigt, dass gerade die Bearbeitung von Differenzen die Erarbeitung einer tragfähigen gemeinsamen Position erst ermöglicht. Ein solches Thema ist die Heiligenverehrung. Im Zuge der Entdeckung der Bedeutung der Spiritualität für die Ökumene sollte dieses Thema auch für das ökumenische Miteinander von Reformierten und Katholiken in der Schweiz fruchtbar gemacht werden; dies mit dem Ziel der gegenseitigen Bereicherung aus den jeweiligen Traditionen.
Die ERGK hat im Auftrag der Schweizer Bischofskonferenz und der Evangelisch-reformierten Kirche Schweiz das Thema «Heilige – Vorbilder des Glaubens» bearbeitet, das ihr selber sehr am Herzen lag. Jedes Mitglied der ERGK verfasste einen Text über eine/n Heilige/n bzw. einen vorbildlichen Menschen seiner Wahl aus der christlichen Ökumene. Mit Porträts der französischen Sozialarbeiterin, Schriftstellerin und katholischen Mystikerin Madeleine Delbrêl (1904–1964), der niederländisch-jüdischen Intellektuellen Etty Hillesum (1914–1943), der französischen Karmeliterschwester Therese von Lisieux (1873–1897), des deutschen evangelischen Theologen und Schriftstellers Jochen Klepper, der Gründerin der katholischen Fokolarbewegung Chiara Lubich (1920–2008) und des zweiten Generalsekretärs der Vereinten Nationen Dag Hammarskjöld (1905–1961) begegnen wir Menschen, in deren Leben etwas von der Heiligkeit Gottes aufleuchtet. Alle führten sie ein Leben in Gegensätzlichkeiten, im Einsatz für die Nächsten, verändert durch einen entscheidenden Wendepunkt in ihrer Biografie.
Gestern ein kontroverses Thema – heute mit ökumenischem Potenzial
«Im Laufe unserer langen Beschäftigung mit dem Thema haben wir festgestellt: ‹Heilige› bringen unsere Kirchen nicht mehr auseinander, vielmehr einander näher. Sicherlich bieten Heiligenleben und Heiligenverehrung manches Befremdliche und sorgen für Gesprächsstoff innerhalb der katholischen Kirche und auch zwischen den Kirchen. Vielmehr aber birgt die Beschäftigung mit Menschen, die ihr Leben bewusst vor Gott gelebt haben, Potenzial für das gemeinsame Christ- und Kirchesein: Wir entdecken mehr Gemeinsamkeiten im Glauben und seine Relevanz für Menschen heute. Wir lernen, wie der Glaube Menschen verändern und in die Tiefe wie auch zu einem mutigen und weltzugewandten Leben führen kann.» (Heilig, S. 121)
Auch Persönlichkeiten wie Pfarrer Walter Nigg für die reformierte Kirche oder Kardinal Kurt Koch für die römisch-katholische Kirche betonten, dass das Nachdenken über Heilige in der Ökumene weiterhilft.
Urban Icons – zwölf Fotoporträts
Im zweiten Teil des Büchleins illustriert Pia Petri Maurer mit Text und Bild, dass Heiligkeit nicht etwas für wenige Menschen Bestimmtes, Abgehobenes ist, sondern die «normale» Berufung des Menschen als «Abbild Gottes», die in der konkreten Situation des Alltags gelebt sein will.
Zielpublikum
Die Publikation wendet sich an eine breite Leserschaft, die sich für die Frage interessiert, wie Leben und Glauben aus christlicher Perspektive gelingen und überzeugen können. Sie eignet sich auch für den Einsatz in der Erwachsenenbildung oder im Religionsunterricht.
Die Publikation liegt vorerst ausschliesslich auf Deutsch vor. Eine französische Übersetzung ist geplant.
Download
Sie finden einen Download sowohl auf der Website der SBK<http://www.bischoefe.ch/fachgremien/evangelisch-roemisch-katholisch/dokumen…> als auch der EKS<https://www.evref.ch/publikationen/heilig/>. Gedruckte Exemplare können bei sekretariat(a)bischoefe.ch<mailto:sekretariat@bischoefe.ch> oder bestellung(a)evref.ch<mailto:bestellung@evref.ch> gratis bestellt werden.
Medienkontakte
Schweizer Bischofskonferenz
Encarnación Berger-Lobato
Leiterin Marketing und Kommunikation
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T +41 79 552 04 40
Evangelisch-reformierte Kirche Schweiz
Katharina Dunigan
Leiterin Kommunikation
katharina.dunigan(a)evref.ch<mailto:katharina.dunigan@evref.ch>
T +41 31 370 25 57
Die Evangelisch/Römisch-katholische Gesprächskommission (ERGK)
Sie ist ein gemeinsames Gremium der Schweizer Bischofskonferenz (SBK) und der Evangelisch-reformierten Kirche Schweiz (EKS). Die Dialogkommission wurde 1966 – im Nachgang zum Zweiten Vatikanischen Konzil – gegründet und bespricht pastorale Fragen des ökumenischen Zusammenlebens – zum Beispiel betreffend gemischtkonfessionelle Ehen, die gegenseitige Taufanerkennung, die ökumenischen Gottesdienste. Bei der Zusammensetzung der Kommission wurde von Anfang an Wert darauf gelegt, dass die verschiedenen Landesteile und Sprachregionen angemessen vertreten sind. Sie hatte zuletzt insgesamt sechs Mitglieder.
Freiburg, 8. September 2020
Link zur Mediencommuniqué <http://www.bischoefe.ch/content/view/full/14435>
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Di dallas migrantas e dils migrants 2020: «Sco Jesus Cristus, sfurzai da fugir»
Per la secunda ga festivein nus ils 27-09-2020 il 106avel di dallas migrantas e dils migrants e quei ensemen cun carstgauns catolics sigl entir mund. Il di dallas migrantas e dils migrants da quest onn stat sut il motto: «Sco Jesus Cristus, sfurzai da fugir» (Documents, Formular d’empustaziun<http://www.migratio.ch/de/content/view/full/14316>). A moda globala semussein nus solidarics cun tuts che han stuiu fugir.
Il Papa indichescha en siu messadi pil di dalla migrantas e dils migrants ch’ei va per seschar en cun quel ni quels che han stuiu fugir e da sefatschentar cun lur ni sia miseria, sias habilitads e siu potenzial. Quei ei la basa per veramein esser in cun l’auter sin via e da propi s’entupar cun quels che han stuiu fugir.
La collecta per quei di – obligatoria ell’entira Svizra – sustegn proiects socials el Libanon ed ell’Etiopia, mo era missiuns e proiects d’auters lungatgs e da migraziun en Svizra. migratio, il post da survetsch dalla Conferenza dils uestgs svizzers, migrants e carstgauns sin fuigia engrazian a tuttas donaturas e tuts donaturs gia ussa per lu sustegn.
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Tag der Migrantinnen und Migranten 2020: «Wie Jesus Christus zur Flucht gezwungen»
Wir feiern den 106. Tag der Migrantinnen und Migranten am 27.9.2020 zum zweiten Mal gemeinsam mit den Katholikinnen und Katholiken auf der ganzen Welt. Der diesjährige Tag der Migrantinnen und Migranten steht unter dem Motto: «Wie Jesus Christus zur Flucht gezwungen» (Unterlagen und Bestellformular<http://www.migratio.ch/de/content/view/full/14316>). Weltweit zeigen wir uns so solidarisch, mit allen Geflüchteten.
Der Papst weist in seiner Botschaft zum Tag der Migrantinnen und Migranten darauf hin, dass es darum geht, sich auf die Geflüchtete/den Geflüchteten, den Menschen gegenüber, einzulassen und sich mit ihrer/seiner Not und ihren/seinen Fähigkeiten und Potenzialen auseinanderzusetzen. Dies bildet die Grundlage, um wirklich miteinander unterwegs zu sein und den Geflüchteten auf Augenhöhe zu begegnen.
Die – schweizweit verbindliche – Kollekte an diesem Tag unterstützt soziale Projekte im Libanon und in Äthiopien, aber auch anderssprachige Missionen und Migrationsprojekte in der Schweiz. migratio, Dienstelle der Schweizer Bischofskonferenz für Migrantinnen, Migranten und Menschen unterwegs, dankt allen Spenderinnen und Spendern bereits jetzt für ihre Unterstützung.
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