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Communiqué de presse
Commission de bioéthique de la Conférence des évêques suisses :
Autorisation du diagnostic préimplantatoire : risque de dérapage
Qui peut trier, sélectionner et éliminer des embryons dans un laboratoire médical ? C’est avec inquiétude que la Commission de bioéthique de la Conférence des évêques suisses réagit à la décision de la Commission de la science, de l'éducation et de la culture du Conseil des Etats (CSEC-E) d’entrer en matière sur l'autorisation du diagnostic préimplantatoire (DPI).
Non seulement la CSEC-E approuve la direction proposée par le Conseil fédéral, mais elle voudrait même repousser les limites que celui-ci veut y mettre. Pareille approche utilitariste ouvre la certitude d’une pente glissante : si on plaide pour un assouplissement des limites, d'autres élargissements suivront inexorablement. La porte est grande ouverte pour l'entrée dans une ère de pratiques eugénistes : en effet, le DPI relève de l‘eugénisme, comme le Conseil fédéral le reconnaît explicitement dans son message.
Nous pensons que, contrairement à ce qu'on veut faire croire, nous ne sommes pas dans le registre du progrès, mais dans celui d’une déconstruction du "vivre ensemble". En effet, une société ne devient pas meilleure lorsqu’elle s’autorise à sélectionner ceux qu'elle considère comme les "bons" et à éliminer les autres. Une société est authentiquement humaine lorsque, tout en luttant contre la souffrance et la maladie, elle se montre capable d’accueillir chaque personne dans sa dignité, et de faire une place aux plus petits et aux plus vulnérables des enfants des hommes. Fort de ce principe humaniste et évangélique, l‘Eglise refusera toujours de considérer le tri, la sélection et l’élimination d’êtres humains comme un progrès. Elle plaide au contraire pour une orientation de la technique vers des solutions novatrices et respectueuses de toute vie humaine.
Fribourg, 13 septembre 2013
Prof. Thierry Collaud
Président de la Commission de bioéthique de la Conférence des évêques suisses
Pour de plus amples informations :
Prof. Thierry Collaud, président de la Commission de bioéthique de la CES (+41 26 300 74 49, thierry.collaud(a)unifr.ch),
Mme Doris Meier, collaboratrice scientifique auprès de la Commission (+41 79 361 98 16, doris.meier(a)bischoefe.ch).
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Communiqué de presse
Assemblée de la Conférence des Evêques suisses (CES) à Givisiez FR
"Plus jamais la guerre!"
La Conférence des Evêques suisses (CES) s’est réunie du 2 au 4 septembre 2013 à la Maison des Séminaires à Givisiez pour sa 301e assemblée ordinaire.
La guerre civile en Syrie et la situation dramatique que connaissent également d'autres pays du Proche-Orient ont jeté une ombre sur l'assemblée des évêques suisses. Le pape François a tenu un discours impressionnant sur la Syrie, dimanche lors de l'Angélus, et a mis en garde contre les évolutions qui se dessinent. Il a poussé un grand cri en faveur de la paix, non pas pour lui seul, ni pour l'Eglise, mais pour la famille humaine: "Nous voulons un monde de paix, nous voulons être des hommes et des femmes de paix, nous voulons que dans notre société déchirée par les divisions et les conflits, explose la paix: plus jamais la guerre! Plus jamais la guerre! La paix est un don éminemment précieux, qui doit être promu et préservé."
Le pape François a lancé pour l'ensemble de l'Eglise une journée de jeûne et de prière pour la paix en Syrie, au Proche-Orient et dans le monde entier le samedi 7 septembre, veille de la fête de la Nativité de la Vierge Marie, Reine de la Paix. Il invite également les frères et sœurs de toutes confessions chrétiennes, les membres des autres religions et tous les hommes de bonne volonté à se joindre à cette initiative de la manière qui leur convient.
Les évêques et Abbés territoriaux de Suisse appellent tout le monde à se joindre à cette initiative du pape, et à jeûner et prier pour la paix. Le 7 septembre, les fidèles se rassembleront pour prier sur la Place Saint-Pierre à Rome de 19h à 24h, et pour demander à Dieu d'accorder le don immense de la paix pour la nation syrienne et pour toutes les autres situations de conflit et de violence dans le monde. Des liturgies se dérouleront également ce même jour en Suisse en de nombreux endroits.
Le "vade-mecum", une base de travail
La publication du Vade-mecum pour la collaboration avec les corporations de droit public ecclésiastique, un document élaboré par une commission spécialisée, a été accueillie de façon controversée par le public. Les thèmes qui y ont été élaborés, comme les terminologies, l'élection des curés et les conventions pour une collaboration entre les évêques et les corporations ecclésiastiques touchent des domaines de responsabilité de ces dernières. Ainsi, le vade-mecum approuvé par les évêques doit être lu comme une base de travail en vue d'un développement des questions de droit ecclésiastique. Il doit apporter une contribution en vue de poursuivre le développement du système en vigueur, en commun avec les responsables des corporations ecclésiastiques. La CES renvoie, en lien avec cette thématique, à son communiqué diffusé le 5 novembre 2008.
Pour rappel: lors de la dernière visite Ad-limina des évêques suisses en 2006 à Rome, des questions relatives au droit ecclésiastique ont été abordées. Ces questions ont ensuite été débattues en 2008 lors d'une journée thématique à Lugano avec des représentants du Saint-Siège, des corporations ecclésiastiques et de la CES. A la suite de ces travaux, la CES a nommé une commission spécialisée et lui a confié diverses questions. La CES a fait appel à des spécialistes pour rejoindre cette commission, alors que le Saint-Siège y a délégué deux membres supplémentaires. La commission spécialisée a rendu un rapport détaillé et a également livré un résumé de son travail, le vade-mecum.
En bref
- Les membres de la CES se rendront selon toute probabilité en visite Ad-limina à Rome durant le premier semestre de l'année 2014. La dernière visite, menée en 2005 / 2006, avait permis des échanges approfondis avec le pape et ses proches collaborateurs.
- Les évêques de Bâle, Coire et St-Gall ont fait un rapport sur leur rencontre avec les préfets de la Congrégation pour la doctrine de la foi et de la Congrégation pour les évêques à Rome. L'objet principal de la rencontre était les questions posées par l'Initiative des paroisses. Le texte de l'Initiative des paroisses est en contradiction, sur plusieurs points, avec la doctrine et la discipline de l'Eglise catholique. La discussion a montré que l'Initiative était le symptôme d'une situation de crise. Les questions et les craintes qui ont conduit à cette Initiative sont à prendre au sérieux. Les évêques vont poursuivre individuellement le dialogue avec les initiateurs et signataires de l'Initiative des paroisses.
Rencontres
- Le nonce apostolique en Suisse, Mgr Diego Causero, a rendu une visite amicale à l’assemblée de la CES. Il a présenté devant les évêques l'idée d'une vision commune du Christ comme Maître et de l'Eglise comme Famille.
- Les évêques ont rencontré le secrétaire de la Commission Justice et Paix, M. Wolfgang Bürgstein. Ce dernier les a représentés en tant que délégué à la table ronde organisée par la Conseillère fédérale Simonetta Sommaruga sur le thème des "Victimes des mesures de contrainte administratives". Les participants à la rencontre ont été informés sur la situation des travaux et ont discuté de la suite des questions.
Nominations
Les évêques suisses ont nommé:
- l'abbé Stefan Kemmler, d'Erlinsbach SO, comme délégué aux Congrès eucharistiques internationaux,
- l'abbé Pierre Bou Zeidan, de Moutier BE, comme membre du Groupe de travail "Islam",
- l'abbé Andreas Schönenberger, de Wattwil SG, comme membre de la Commission "Evêques – Prêtres"
- le Père dominicain Michel Fontaine, de Genève, professeur à la Haute Ecole de la Santé "La Source“ à Lausanne, comme membre de la Commission Bioéthique.
Givisiez, 4 septembre 2013
Conférence des évêques suisses
Walter Müller, chargé d'information
Indications aux rédactions: Le président de la Conférence des évêques suisses, Mgr Markus Büchel, est à disposition des rédactions pour des informations supplémentaires. Il peut être atteint par téléphone le jeudi 5 septembre de 14h à 15h au +41 71 227 33 42.
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Déclaration du Président de la Conférence des Evêques suisses quant au document « Vade-mecum pour la collaboration de l’Eglise catholique avec les Corporations de droit public ecclésiastique en Suisse »
A la suite du débat médiatisé au sujet du document de la Conférence des Evêques suisses quant à la collaboration avec les Corporations de droit public ecclésiastique, le Président de la Conférence des Evêques suisses tient à rappeler que les Evêques soutiennent le système de droit public ecclésiastique actuellement en place. Le Vade-mecum constitue une base de discussion pour le développement du droit ecclésiastique. Afin de clarifier les diverses réactions suscitées par ce document, le Président publie la rectification suivante :
La Conférence des Evêques a adopté, début mars, un „Vade-mecum pour la collaboration de l’Eglise catholique avec les corporations de droit public ecclésiastique en Suisse ». Il s’agit de recommandations d’une commission d’experts qui, par mandat de la Conférence des Evêques suisses, a analysé des questions relatives au développement du droit public ecclésiastique en Suisse.
Les démarches proposées dans le Vade-mecum se fondent sur la confirmation, par les Evêques suisses, du système actuel. Les corporations de droit public ecclésiastique contribuent largement à l’accomplissement des tâches ecclésiales. Cette situation n’est pas remise en question. Notre gratitude va à tous les catholiques qui s’engagent, pour le bien de notre Eglise, en tant que baptisés et en tant que membres de notre Eglise élus démocratiquement pour assumer un mandat au sein des structures de droit public ecclésiastique.
Le document de la commission d’experts propose des amorces théoriques permettant la poursuite du développement du droit public ecclésiastique en Suisse. Lorsqu’un évêque décide d’entreprendre des démarches concrètes en direction d’un tel développement, il cherchera la concertation avec les corporations de droit public ecclésiastique afin de réaliser les adaptations nécessaires à la réalité.
Des informations partielles au sujet de ce document ont été publiées, principalement en Suisse alémanique, et ont conduit à de vives réactions. La responsabilité nous incombe. Le Vade-mecum n’est qu’un document de discussion. Cette dernière doit être menée par toutes les parties impliquées dans ce processus. But de toute cette démarche est la consolidation et le développement du système de droit public ecclésiastique qui a fait ses preuves au sein de l’Eglise catholique en Suisse.
Mgr Markus Büchel, Président de la Conférence des Evêques suisses
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Pour de plus informations:
Service de la Communication de la Conférence des Evêques suisses
Nicolas Betticher, nicolas.betticher(a)eveques.ch<mailto:nicolas.betticher@eveques.ch> 079 305 70 45
Pour des informations techniques au sujet du Vade-mecum : M. Claudius Luterbacher, Chancelier du diocèse de St-Gall, Membre de la Commission d’experts : claudius.luterbacher(a)bistum-stgallen.ch<mailto:claudius.luterbacher@bistum-stgallen.ch> 071 227 34 76
Dichiarazione del presidente della Conferenza dei vescovi svizzeri
sul "Vademecum per la collaborazione tra Chiesa cattolica e Corporazioni di diritto pubblico ecclesiastico in Svizzera"
A seguito del dibattito sorto nei media sul documento della Conferenza dei vescovi svizzeri relativo alla collaborazione con le corporazioni di diritto pubblico ecclesiastico, il presidente della Conferenza dei vescovi svizzeri desidera ribadire che i vescovi sostengono il sistema di diritto pubblico ecclesiastico attualmente in vigore. Il vademecum costituisce una base di discussione per l'evoluzione del diritto ecclesiastico. Per chiarire le varie reazioni suscitate dal documento, il presidente della CVS pubblica la seguente rettifica:
La Conferenza dei vescovi ha adottato, ad inizio marzo 2013, il "Vademecum per la collaborazione tra Chiesa cattolica e Corporazioni di diritto pubblico ecclesiastico in Svizzera". Si tratta di raccomandazioni emananti da una commissione d'esperti che, su mandato della Conferenza dei vescovi svizzeri, ha analizzato alcune questioni legate allo sviluppo del diritto pubblico ecclesiastico in Svizzera.
Il processo intravvisto nel Vademecum si basa sul fatto che i vescovi svizzeri accreditano il sistema attuale. Infatti, le corporazioni di diritto pubblico ecclesiastico contribuiscono ampiamente alla realizzazione dei vari incarichi in seno alla Chiesa e lo faranno anche in futuro. La nostra riconoscenza spetta a tutti quei cattolici che si impegnano a favore della Chiesa in quanto battezzati e in quanto suoi membri eletti democraticamente per assumere un mandato entro le strutture di diritto pubblico ecclesiastico.
Siamo lieti di poter contare sulle loro competenze e il loro molteplice impegno. Mi distanzio risolutamente da ogni allegazione secondo cui compiono il loro dovere non come membri della Chiesa, ma 'soltanto' come cittadini.
Il documento della commissione d'esperti propone spunti teorici che permettono di accompagnare l'evoluzione del diritto pubblico ecclesiastico in Svizzera. Allorquando un vescovo decida d'intraprendere dei passi concreti in direzione d'un tale sviluppo, cercherà l'accordo con le corporazioni di diritto pubblico ecclesiastico, che consentirà di attuare i necessari adeguamenti alla realtà.
Poiché sono state pubblicate informazioni parziali sul documento a causa della nostra comunicazione infelice, deploriamo molto anche i malintesi sorti. Il vademecum è un testo di discussione, che va condotta con tatto da tutte le parti implicate nel processo. Quest'ultimo si prefigge di consolidare e far evolvere il sistema del diritto pubblico ecclesiastico, che ha già fatto le sue prove in seno alla Chiesa cattolica in Svizzera.
mons. Markus Büchel, presidente della Conferenza dei vescovi svizzeri
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Message du Président de la Conférence des Evêques suisses concernant la situation dramatique en Egypte
Mgr Markus Büchel, Président de la Conférence des Evêques suisses (CES), relève, avec émotion et tristesse, la dramatique situation que connaissent actuellement l’Egypte ainsi que d’autres pays du Proche Orient, la Syrie notamment. Sont particulièrement vulnérables les communautés chrétiennes d'Egypte.
Le Président de la CES invite tous les catholiques en Suisse à prier pour les victimes de la violence, particulièrement lors des célébrations dominicales des 24 et 25 août, et à soutenir l'aide apportée par Caritas suisse aux victimes en Egypte. En outre, une veillée de prière sera célébrée, dimanche 25 août, à 20h, en l’Abbaye d’Einsiedeln.
Message du Président de la Conférence des Evêques suisses
Nous, les évêques suisses, prenons très au sérieux l’aggravation de la situation dramatique en Egypte. J’invite les paroisses et les communautés religieuses du pays à confier à Dieu toutes les personnes qui sont victimes de la violence et de l’injustice en Egypte. Que les cœurs des hommes s’ouvrent à la paix qui est en Dieu, car Dieu est la paix.
L’inacceptable violence et la terreur visent toute la population, tous les âges, toutes les religions et toutes les appartenances politiques confondues. On compte jusqu'à 80 églises, monastères, couvents, écoles chrétiennes, hôpitaux et autres institutions saccagés. Je suis profondément et positivement touché de voir, en Egypte, des Musulmans s’engager, au côté de Chrétiens, dans la défense de leurs églises et des personnes.
Je remercie les Instances Fédérales pour leurs démarches en faveur de la paix et la sauvegarde des droits des minorités en Egypte, tout particulièrement des chrétiens persécutés. Je demande au Gouvernement suisse de déployer toutes les possibles démarches diplomatiques en faveur d’un apaisement de cette situation inacceptable et du respect essentiel de la liberté religieuse.
Je dis ma reconnaissance au Père Abbé d’Einsiedeln, Mgr Martin Werlen, membre de la Conférence des Evêques suisses, d’accueillir dimanche soir, à 20h, en l’Abbaye d’Einsiedeln, les Chrétiens et tout particulièrement les Coptes de Suisse qui souhaitent se retrouver pour un temps de prière, de partage et de solidarité exprimée à l’égard des victimes de la folie de l’homme.
Fribourg/St-Gall, le 22 août 2013
+ Markus Büchel
Président de la Conférence des évêques suisses
Précision pour la collecte:
Caritas Suisse, 60-7000-4, mention: "Egypte"
Caritas Suisse soutient des projets humanitaires de Caritas Egypte destinés à la population indigente
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Messaggio del presidente della Conferenza dei vescovi svizzeri sulla drammatica situazione in Egitto
Mons. Markus Büchel, presidente della Conferenza dei vescovi svizzeri (CVS) rileva con indignazione e tristezza la drammatica situazione in cui vengono a trovarsi attualmente l'Egitto, la Siria e altri Paesi del Medio Oriente. Sono particolarmente toccate dalla violenza e il terrore le comunità cristiane d'Egitto.
Il Presidente della CVS invita i cattolici in Svizzera a pregare per le vittime della violenza, specialmente durante le Sante Messe domenicali del 24 e 25 agosto prossimi, e a sostenere l'aiuto apportato da Caritas Svizzera ai sofferenti in Egitto. Una veglia di preghiera si terrà inoltre all'abbazia di Einsiedeln domenica 25 agosto alle ore 20.
Messaggio del Presidente della Conferenza dei vescovi svizzeri
Noi vescovi svizzeri seguiamo con preoccupazione l'aggravamento della drammatica situazione in cui si trova l'Egitto. Invito perciò le parrocchie e le comunità religiose del nostro Paese a pregare per tutte le vittime della violenza e dell'ingiustizia in Egitto. Possa il Signore far sì che i cuori si aprano alla pace.
Una violenza inaccettabile ed il terrore prendono di mira tutta una popolazione, a prescindere dall'età delle vittime, dalla religione e dall'appartenenza politica. Si annovera il saccheggio di quasi 80 chiese, monasteri, conventi, scuole cristiane, ospedali e altri istituti. Mi conforta profondamente vedere musulmani aiutare i cristiani in Egitto nella difesa delle loro chiese e delle persone.
Ringrazio le Autorità federali per gli sforzi fatti a favore della pace e della salvaguardia dei diritti delle minoranze in Egitto, in special modo dei cristiani perseguitati. Chiedo cortesemente al Governo svizzero di intraprendere tutti i passi diplomatici possibili per giungere ad un rapido miglioramento di questa situazione inaccettabile e al rispetto essenziale della libertà religiosa.
Ringrazio l'abate di Einsiedeln, mons. Martin Werlen, membro della nostra Conferenza dei vescovi, per l'accoglienza di domenica sera 25 agosto alle ore 20 ai fedeli, inclusi i fedeli copti in Svizzera, nell'abbazia di Einsiedeln, per una veglia di preghiera, condivisione e solidarietà con le vittime della follia dell'uomo.
Friburgo/San Gallo, 22 agosto 2013
+ Markus Büchel
Presidente della Conferenza dei vescovi svizzeri
Per chi volesse contribuire alla colletta:
Caritas Svizzera, 60-7000-4, Menzione: "Egitto"
Caritas Svizzera sostiene progetti umanitari di Caritas Egitto a favore della popolazione indigente
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Communiqué de presse
Troisième pèlerinage africain auprès de la Vierge Noire à Einsiedeln
Le 31 août des Africaines et Africains vivant surtout en Suisse alémanique et au Tessin ainsi que des amis du continent noir se rendent pour la troisième fois déjà auprès de la Vierge Noire à Einsiedeln. On s'attend à une journée haute en couleurs, avec beaucoup de musiques, de danses et de prières. Huit chœurs africains de différentes villes suisses et 300 pèlerins y sont attendus.
Le pèlerinage commence à 10 h 30 par le rassemblement des pèlerins devant l'église de l'Abbaye. Débute alors le Chemin de croix animé par des chants de différents pays africains. Le centre du pèlerinage africain est la célébration de l'Eucharistie à 12 h 30, présidée par l'évêque de Lugano, Mgr Pier Giacomo Grampa. Les participants sont invités à prendre le pique-nique avec eux et de le partager après la messe avec les autres pèlerins. Quelques groupes régionaux prépareront des spécialités africaines.
Par le pèlerinage auprès de la Vierge Noire à Einsiedeln les catholiques africain-e-s vivant en Suisse peuvent exprimer leur foi à leur manière propre et prier ensemble pour leur nouvelle patrie, pour les pays africains et leurs parents. En outre, ils attirent ainsi l'attention sur la présence des Africains catholiques dans l'Eglise en Suisse et encouragent la rencontre avec des fidèles non africains. C'est pourquoi toutes les personnes intéressées, indépendamment de leur origine, sont invitées à participer à ce pèlerinage africain.
Afin que du point de vue linguistique ce pèlerinage soit accessible autant que possible à tous les participants, il aura lieu en allemand, français et anglais. Un livret trilingue est à disposition afin que chaque participant puisse suivre dans sa propre langue l'Eucharistie et le Chemin de croix.
On trouvera de plus amples informations au sujet du pèlerinage africain, des chœurs et des lieux où ont lieu des célébrations eucharistiques africains en Suisse et aussi sur les agents pastoraux africains dans les paroisses sous le site www.africath.ch<http://www.africath.ch>.
Dans différentes villes des voyages en autocar à un prix modique seront organisés pour le pèlerinage africain à Einsiedeln du 31 août 2013. Les pèlerins intéressés, mais également les représentants des media peuvent s'adresser directement aux responsables régionaux.
Responsables régionaux:
- Région de la Suisse orientale (St-Gall): Uzor Chika, chika.uzor(a)kathsg.ch<mailto:chika.uzor@kathsg.ch>, 071 244 21 35
- Région nord-ouest de la Suisse (Bâle): Susy Mugnes, mugnes.assunta(a)rkk-bs.ch<mailto:mugnes.assunta@rkk-bs.ch>, 061 685 94 56
- Région de Zurich: Benignus Ogbunanwata, benignus.ogbunanwata(a)kath.ch<mailto:benignus.ogbunanwata@kath.ch>, 052 315 14 36
- Région de la Suisse centrale (Lucerne): Williams Kalume, amicos77(a)hotmail.com<mailto:amicos77@hotmail.com>,
- Région de Berne/Fribourg/Jura: Marco Schmid, info(a)migratio.ch<mailto:info@migratio.ch>, 026 510 15 05
Coordination générale du pèlerinage: Marco Schmid, Service migratio, info(a)migratio.ch<mailto:info@migratio.ch>, 026 510 15 05
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La voix de l’Eglise dans la société
Message de la Conférence des Evêques suisses
pour la fête nationale du 1er août 2013
Politique de l’asile, protection du dimanche, défense de la vie depuis son début jusqu’à sa fin naturellement accueillie : quand les évêques se prononcent sur des questions de société, ils sont souvent critiqués. Certains politiques nient le droit de l’Eglise de s’exprimer publiquement. L’Eglise ferait-elle mieux de se taire dans notre société ? Mgr Charles Morerod explique, dans le message du 1er août de la Conférence des Evêques suisses, pourquoi la voix de(s) Eglise(s) est indispensable.
(version italienne ci-dessous)
Dans une société pluraliste comme celle de la Suisse, l’Eglise devrait-elle encore prendre position publiquement, ou ne devrait-elle pas plutôt s’en abstenir ? Cette question se pose bien sûr à propos de toute Eglise ou religion, mais nous l’abordons dans notre propre cas, celui de l’Eglise catholique.
Parler de position publique de l’Eglise ne signifie pas seulement une déclaration des évêques. Il s’agit d’abord de tout acte de personnes inspirées par leur foi. En effet être chrétien doit avoir des conséquences, sinon cela ne signifie rien. Puisque le chrétien croit que Dieu aime les hommes, il se sait appelé à faire de même, et le manifeste aussi dans l’attention à ceux que personne ne prend en considération, et dans le pardon jusqu’à l’amour des ennemis. On trouve une inspiration évangélique assez directe dans la Constitution fédérale, dont le Préambule, qui commence par invoquer le « Dieu tout-puissant », affirme que « la force de la communauté se mesure au bien-être du plus faible de ses membres ».
Une attitude évangélique n’a jamais été évidente : la vengeance est plus spontanée que le pardon, et toute société tend à se satisfaire de l’oubli de ses pauvres. Pourtant le pardon et l’intégration des faibles sont essentiels à la possibilité même d’une communauté humaine paisible. Si on étudie l’histoire en prêtant attention à cet aspect, on verra à quel point l’Evangile a façonné notre société. La vie quotidienne des chrétiens de notre pays continue à façonner notre monde. Chaque geste inspiré – consciemment ou non – par l’Evangile a un effet, et est donc une position chrétienne en quelque sorte publique.
Comme le relève une étude nationale récente, une grande partie des Suisses voit l’impact des Eglises (pas seulement de l’Eglise catholique) comme positif au moins pour les marginaux. Toutefois on ne remarque pas toujours que cet apport social dépend d’une foi vivante :
« Si le christianisme bénéficie d’une bonne image, (…) il n’est plus considéré par tous les Suisses comme la religion de base de la société actuelle. Par contre, une majorité considère que les Eglises nationales continuent d’être utiles pour les personnes socialement défavorisées. Un rôle social qui est pourtant menacé, si de plus en plus de personnes se distancient de la religion. » (La religiosité des chrétiens en Suisse et l’importance des Eglises dans la société actuelle, PNR 58, p.5)
Les positions des chrétiens ne sont pas purement individuelles, car l’être humain vit en société et la foi chrétienne intègre cette dimension communautaire. Certes, au plan individuel ou au plan ecclésial, l’impact des chrétiens n’est pas toujours à la hauteur de l’Evangile. Cela affecte la crédibilité de nos positions, et l’Eglise l’a reconnu à plusieurs reprises en demandant pardon (notamment durant le jubilé de l’an 2000). Le Concile Vatican II a été radical à cet égard :
« Dans cette genèse de l’athéisme, les croyants peuvent avoir une part qui n’est pas mince, dans la mesure où, par la négligence dans l’éducation de leur foi, par des présentations trompeuses de la doctrine et aussi par des défaillances de leur vie religieuse, morale et sociale, on peut dire d’eux qu’ils voilent l’authentique visage de Dieu et de la religion plus qu’ils ne le révèlent. » (Gaudium et Spes, § 19)
Si la vie des croyants, y compris bien sûr celle du clergé, voile souvent l’Evangile, ce n’est pas une raison de ne pas annoncer cet Evangile. Au contraire, nous l’annonçons à nous-mêmes et aux autres comme source de renouvellement offerte par Dieu à l’accueil de notre liberté. Sans renouvellement constant, notre foi et ses conséquences pratiques s’affaiblissent et finissent par disparaître.
Prenons quelques exemples de ce qu’une vision chrétienne de la vie humaine peut apporter à la société :
- L’homme n’est pas purement matériel et une vision purement matérialiste ne suffit pas à rendre heureux. C’est au nom de la dimension spirituelle de l’être humain que des chrétiens ont résisté aux matérialismes communiste et nazi au XXe siècle.
- Le bien commun du pays et du monde demande que chacun renonce à une partie de ce qu’il pourrait avoir : le christianisme invite à dépasser l’égoïsme, en nous rappelant que la vie présente n’est pas notre seule perspective.
- Beaucoup de nos concitoyens ont des racines chrétiennes, qui expliquent une partie de leurs positions sociales. La connaissance de ces racines aide à comprendre notre société. Comme le facteur religieux joue un rôle important dans le monde entier, le connaître de l’intérieur favorise aussi notre compréhension du reste du monde (ce qui est utile même au plan économique).
- La population suisse compte près de 20% d’étrangers, qui tiennent souvent beaucoup à la religion, et à ce niveau nous pouvons avoir un bon dialogue entre Suisses et immigrés. A titre d’exemple : la commune de Renens a donné en 2012 son « Mérite de l’intégration » aux Missions catholiques espagnole, italienne et portugaise.
- Une vision religieuse aide aussi à dialoguer avec d’autres religions : ce que beaucoup de musulmans craignent, par exemple, ce n’est pas une société chrétienne, c’est surtout une société qui ne laisse pas de place à la religion.
Si les évêques s’expriment parfois publiquement sur des sujets de société, ce n’est donc pas seulement pour éclairer les catholiques à propos de leur foi, mais aussi pour proposer à tous l’apport d’une vision chrétienne. Nous le faisons en écoutant les autres positions, et en espérant pouvoir être aussi écoutés avec la bienveillance présupposée par une société démocratique. Et quoi qu’il arrive nous nous souvenons du cri de l’Apôtre S. Paul : « Malheur à moi si je n’annonçais pas l’Evangile! ». (1 Corinthiens 9,16)
Au nom des Evêques suisses : Mgr Charles Morerod, vice-président de la Conférence des Evêques
Pour de plus amples informations : abbé Nicolas Betticher, chargé d’information : 079/305’70’45 nicolas.betticher(a)eveques.ch<mailto:nicolas.betticher@eveques.ch>
Versione italiana
La voce della Chiesa nella società
Messaggio della Conferenza dei vescovi svizzeri per il 1° agosto 2013
Che si parli di politica d'asilo, di protezione della domenica o di difesa della vita dal concepimento alla morte naturale: quando i vescovi intervengono su questioni sociali sono spesso criticati. Non di rado i politici non riconoscono alla Chiesa il diritto d'intervenire pubblicamente. Forse che la Chiesa farebbe meglio a tacere? Mons. Vescovo Charles Morerod, vicepresidente della Conferenza dei vescovi svizzeri, illustra nel suo messaggio per il 1° agosto perché non si possa prescindere dalla voce della Chiesa (delle Chiese) nel dibattito sociale.
In una società pluralistica com'è quella svizzera, ci chiediamo se la Chiesa debba ancora intervenire pubblicamente o piuttosto astenersene. Questa domanda tocca evidentemente ogni Chiesa o religione, ma qui la affrontiamo come Chiesa cattolica.
Parlare di intervento pubblico della Chiesa non significa limitarsi alle dichiarazioni dei vescovi, perché riguarda in primo luogo ogni atto posto da persone mosse dalla fede. Essere cristiano, infatti, deve avere un effetto, altrimenti non significa nulla. Se il cristiano crede che Dio vuol bene agli uomini, si sente chiamato a fare la stessa cosa, manifestandolo nell'attenzione verso coloro che nessuno considera e nel perdono fino all'amore verso i nemici. Troviamo un'ispirazione evangelica molto diretta nella Costituzione federale, il cui preambolo, cominciando con l'invocare "Dio Onnipotente", afferma che la "forza di un popolo si commisura al benessere dei più deboli dei suoi membri".
Un'attitudine improntata al Vangelo non è mai ovvia: la vendetta è più immediata del perdono ed ogni società tende a soddisfarsi dell'oblio dei suoi poveri. Eppure il perdono e l'integrazione di chi è debole sono essenziali all'esistenza stessa d'una comunità umana affiatata. Se si percorre la storia attenti a quest'aspetto, si vedrà fino a che punto il Vangelo ha plasmato la nostra società. La vita quotidiana dei cristiani nel nostro Paese continua a plasmare il nostro mondo. Ogni gesto ispirato dal Vangelo – consapevolmente o meno – incide e rappresenta in un certo senso un intervento pubblico.
Come lo rileva un recente studio nazionale, gran parte degli Svizzeri ritiene positivo l'impatto delle Chiese (non solo di quella cattolica) perlomeno sui marginali. Tuttavia non si avverte abbastanza che questo contributo sociale dipende da una fede vissuta:
"Sebbene il cristianesimo goda d'un'immagine positiva [...], non più tutti gli Svizzeri la considerano come punto di riferimento della società. Eppure una maggioranza tende ancora a ritenere che le Chiese nazionali siano utili per le persone socialmente sfavorite. Un ruolo sociale che risulta tuttavia sempre più precario, se è vero che aumentano coloro che si distanziano dalla religione." (cfr. La religiosité des chrétiens en Suisse et l’importance des Eglises dans la société actuelle, PNR 58, p.5).
Le posizioni assunte dai cristiani non sono meramente individuali, perché l'essere umano vive in società e la fede integra questa dimensione comunitaria. Certo, a livello sia individuale sia ecclesiale, l'incidenza dei cristiani non è sempre all'altezza del Vangelo. Ciò intacca la credibilità delle nostre posizioni e la Chiesa l'ha riconosciuto a più riprese chiedendo perdono (soprattutto durante il giubileo del 2000). Il Concilio Vaticano II° è stato radicale affermando:
"Nella genesi dell'ateismo possono contribuire non poco i credenti, nella misura in cui, per aver trascurato di educare la propria fede, o per una presentazione ingannevole della dottrina, od anche per i difetti della propria vita religiosa, morale e sociale, si deve dire piuttosto che nascondono e non che manifestano il genuino volto di Dio e della religione." (Gaudium et Spes, § 19).
Se l'atteggiamento dei fedeli, clero ovviamente incluso, offusca sovente il Vangelo, non significa che questo Vangelo non vada annunciato. Tutt'altro: lo annunciamo, a noi stessi e agli altri, come fonte di rinnovamento offerta da Dio, in grado d'essere accolta dalla nostra libertà. Senza un costante rinnovo, la fede e le sue conseguenze pratiche si affievoliscono e rischiano di scomparire.
Facciamo qualche esempio di ciò che può recare alla società una visione cristiana della vita:
- l'uomo non è solo materia, un'ottica puramente materialista non basta a renderlo felice. In nome della dimensione spirituale dell'essere umano, non pochi cristiani hanno resistito ai materialismi comunista e nazista del 20° secolo;
- il bene comune della Svizzera e oltre sollecita da ciascuno di noi la rinuncia ad una parte di ciò che gli spetta: il cristianesimo invita a oltrepassare l'egoismo e ci rammenta che la vita terrena non è l'unica prospettiva;
- molti nostri concittadini hanno radici cristiane che fanno comprendere in parte i loro principi sociali. La conoscenza di queste radici aiuta a capire la società. Nella misura in cui il fattore religioso assume un ruolo importante nel mondo, il fatto di conoscerlo dall'interno favorisce la nostra percezione del mondo stesso (e ciò può servire anche da un punto di vista economico);
- la popolazione svizzera annovera quasi un 20% di stranieri, spesso molto attaccati alla religione, così che a questo livello può crearsi un dialogo proficuo tra svizzeri e immigrati. A titolo d'esempio: il Comune di Renens ha attribuito il suo "Merito all'integrazione" 2012 alle missioni cattoliche spagnola, italiana e portoghese;
- una visione religiosa concorre a dialogare con altre religioni: ciò che molti musulmani temono, per esempio, non è una società cristiana, bensì una società che non lasci alcun posto alla religione.
Se qualche volta i vescovi intervengono pubblicamente su temi di società, non è solo per istruire la fede dei cattolici, ma anche per proporre a tutti il contributo d'una visione cristiana. Lo facciamo prestando ascolto alle idee altrui e sperando di essere ascoltati con la disponibilità presupposta da una società democratica.
E qualunque cosa capiti, ricordiamoci del monito dell'apostolo Paolo: "guai a me se non predicassi il Vangelo!" (1a ai Corinzi, 9, 16).
Charles Morerod, Vescovo di Losanna, Ginevra e Friburgo, vicepresidente della Conferenza dei vescovi svizzeri, a nome dei vescovi svizzeri
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Communiqué de presse
Le président de la Conférence des évêques suisses, Mgr Markus Büchel, réagit à la publication de l’Encyclique „Lumen fidei“
Lumière pour le monde
L’encyclique « Lumen fidei », publiée aujourd’hui à Rome par le Pape François, constitue une importante contribution à « l’Année de la foi », vécue actuellement. Par cette publication, le Pape poursuit la même finalité que celle de l’Année de la foi, à savoir, comme il le dit : « à expérimenter la grande joie de croire, à raviver la perception de l’ampleur des horizons que la foi entrouvre ».
L’Encyclique s’insère dans le contexte du 50ème anniversaire du Concile Vatican II. En Suisse, ce jubilé s’étend sur trois ans d’actualisation du Concile, 2012-2015, sous le Leitmotiv « découvrir la foi ». Le Jubilé du Concile, l’Année de la foi et l’Encyclique sont ainsi étroitement liés.
Aussitôt au début de son Encyclique, le Pape François explique que par l'expression « lumière de la foi » (« lumen fidei »), la tradition de l’Église a désigné le grand don offert par le Christ. Celui-ci dit dans l’Evangile de Jean : « Moi, la lumière, je suis venu dans le monde, pour que quiconque croit en moi ne demeure pas dans les ténèbres » (Jn 12, 46).
L’Encyclique sur la foi se comprend comme un complément aux réflexions du Pape Benoît XVI sur l’amour et l’espérance. Comme le Pape François l’explique dans son introduction de la présente Encyclique, son prédécesseur avait presque terminé le premier jet de l’Encyclique sur la foi. Il a repris le précieux travail et l’a complété.
Pourquoi une telle concentration sur à la question de la foi au moment du jubilé du Concile, de l’Année de la foi et de la première Encyclique du nouveau Pape ? Le pape François explique que « L’Église, en effet, ne suppose jamais la foi comme un fait acquis, mais elle sait que ce don de Dieu doit être nourri et renforcé pour qu’il continue à conduire sa marche ».
Et le Pape retient également qu'en raison de son lien avec l’amour, « la lumière de la foi se met au service concret de la justice, du droit et de la paix. ». Et même : « Oui, la foi est un bien pour tous, elle est un bien commun, sa lumière n’éclaire pas seulement l’intérieur de l’Église et ne sert pas seulement à construire une cité éternelle dans l’au-delà; elle nous aide aussi à édifier nos sociétés, afin que nous marchions vers un avenir plein d’espérance. ».
Saint-Gall, 5 juillet 2013
+ Markus Büchel
évêque de Saint-Gall
président de la Conférence des évêques suisses
Avis aux rédactions
Pour des informations complémentaires : Nicolas Betticher, Porte-parole, Mobile +41 79 305 70 45, nicolas.betticher(a)conferencedeseveques.ch
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Communiqué de presse
Entretien des évêques de Bâle, Coire et St-Gall avec la Congrégation pour la Doctrine de la foi
Le processus de dialogue avec les signataires de l’ »Initiative des paroisses » se poursuit dans les trois diocèses concernés, à savoir Bâle, Coire et St-Gall. Les évêques des ces trois diocèses rencontreront, le 1er juillet prochain, à Rome, le Préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, Mgr Gerhard Müller, afin d’évoquer les questions posées par les responsables de dite « Initiative ». Cet entretien était projeté depuis longtemps. Un premier rendez-vous avait dû être reporté à cause de l’élection du nouveau Souverain pontife.
Fribourg, le 12 juin 2013
Service de la communication de la Conférence des Evêques suisses
Précisions à l’intention des rédactions : de plus amples informations sur l’état du processus de dialogue dans les trois diocèses peuvent être obtenues auprès des services diocésains de l’information de Bâle, Coire et St-Gall.
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Schweizer Bischofskonferenz (SBK) -Kommission für Kommunikation und Medien
Conférence des évêques suisses(CES) - Commission pour la communication et les médias
Conferenza dei vescovi svizzeri (CVS) - Commissione per la comunicazione e i media
Rue des Alpes 6, CP 278, CH -1701 Fribourg, I : http://www.commission-medias.eveques.ch/
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Aux médias
Le prix catholique des médias 2013, décerné par la Commission pour la communication et les médias de la Conférence des évêques suisses, est attribué au réalisateur genevois Pierre Morath pour son documentaire: "Chronique d'une mort oubliée".
L'isolement total de personnes jusqu'à la mort et même au-delà, constitue le thème du documentaire de Pierre Morath, primé par le jury. Il relate l'histoire de Michel Christen, trouvé mort en 2005 dans son petit appartement à Genève. Son corps était complètement décomposé. Christen était décédé ici, dans un quartier résidentiel de la ville, 28 mois plus tôt, à l'âge de 53 ans. Ni la famille, ni les voisins, ni les autorités ou encore les institutions sociales n'ont cherché à avoir des nouvelles de ce bénéficiaire de l'aide sociale; jamais personne n'est parti à sa recherche.
Le film de Morath interpelle vivement et nous confronte à des questions désagréables: comment vivons-nous les uns avec les autres ? A quel point le sort de nos concitoyens nous tient-il à coeur? Vivons-nous les uns à côté des autres plutôt que les uns avec les autres? Pour le Père Willi Anderau, capucin et président du jury du Prix catholique des médias, le film de Morath va plus loin : « Morath n'émet pas de jugement moral et n'accuse personne. Il nous pose simplement la question centrale contenue dans la parabole du Bon Samaritain : 'qui est mon prochain ? ' C'est cela qui rend ce film si fort ».
Outre le lauréat mentionné, le reportage de la jeune journaliste Anna Miller :« Madame Huber déménage » (publié dans le magazine * zalle), avait aussi été retenu en finale.
Le Prix catholique des médias est doté de 4'000 francs.
La remise publique du prix aura lieu le 19 juin, à 18h30, au centre CARE, à Genève. Là même où Michel Christen avait trouvé un peu de "chez-soi" avant sa mort.
Prix Good News
Cette année, les médias catholiques ont à nouveau attribué le Prix "Good News" - un par région linguistique - doté de 1000 francs, afin de récompenser les personnes ou institutions qui, en 2012, ont suscité des échos positifs dans les médias. Les gagnants ont été désignés par le public des médias ecclésiaux.
Pour la Suisse romande, le Prix revient au Chanoine Guy Luisier, qui, au Congo depuis un an, rapporte son expérience dans son blog "Une colline au Congo" qu'on peut lire sur le portail catholique: "cath.ch". Ce prix sera également décerné le 19 juin à Genève.
En Suisse alémanique, le Prix est décerné à Sabine Rüthemann et Gabi Ceric, qui contribuent tous deux à la page Facebook du diocèse de Saint-Gall, pour la réussite de leur présence dans les médias sociaux.
En Suisse italienne, le Prix revient au monastère des Clarisses de Saint-François et de sainte Claire à Cademario.
Plus d'informations sur le Prix catholique des médias et le Prix « Good-News » auprès de Simon Spengler, secrétaire de la Commission pour la communication et les médias, tél : 026 510 15 28, 079 667 27 75, e-mail : simon.spengler(a)eveques.ch
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Communiqué de presse
Assemblée de la Conférence des Evêques suisses (CES) à Einsiedeln
„Nous construisons ensemble l‘Eglise“
La Conférence des Evêques suisses s’est réunie du 2 au 5 juin 2013 dans l’abbaye bénédictine d’Einsiedeln pour sa 300e assemblée ordinaire.
La Conférence des Evêques suisses et la Mission Intérieure (MI) ont célébré, durant le premier jour de l’assemblée, un double anniversaire : les deux organisations furent en effet fondées voici 150 ans. Fidèles de toute la Suisse mais également nombreux représentants des milieux œcuménique, étatique et politique ainsi que dignitaires du Saint Siège et évêques des pays voisins se sont joints aux célébrations (cf. communiqué du 2.6.13). La Conseillère fédérale Doris Leuthard a présenté les vœux du Conseil fédéral au cours d’une allocution vibrante. Le Conseiller aux Etats Paul Niederberger, président de la Mission Intérieure, a prononcé le discours officiel au nom de l’œuvre d’entraide catholique. Les objets à l’ordre du jour de la CES ont été traités à partir du deuxième jour de l’assemblée.
Un double anniversaire
L’élément central des festivités a été la messe solennelle dans l’église abbatiale d’Einsiedeln. La fête se voulait une fête de gratitude et de joie : gratitude vis-à-vis des nombreux laïcs et agents pastoraux qui s’engagent jour après jour en faveur de la transmission de la foi et « construisent ensemble l’Eglise », selon la devise des célébrations. Le président de la CES, Mgr Markus Büchel, a rappelé dans son homélie que la Mission Intérieure, fondée en 1863 par des laïcs catholiques, avait soutenu pendant des décennies la construction de nombreuses églises : « Les églises sont les signes, dans notre société, d’une autre réalité, les signes que Dieu habite parmi nous. » Il a relevé, dans ce contexte, la grande importance des laïcs dans le plan divin et souligné que, selon l’Evangile, c’est Jésus lui-même qui conduit l’Eglise : « L’Eglise en tant que communauté des croyants est formée d’interactions variées et extraordinaires entre Dieu et les hommes, entre les hommes aux dons, vocations et services les plus divers, entre les chrétiens laïcs et consacrés, entre ceux qui regardent en arrière et ceux qui poussent vers l’avant, entre ceux qui ont choisi et ceux qui cherchent, entre les évêques et les œuvres d’entraide comme la MI – mais nous tous ne construisons l’Eglise qu’ensemble, si la joie envers Dieu est l’essentiel pour nous tous et que nous en tirons de la force. »
Une sculpture sur la place devant l’abbaye rappelle ce double anniversaire et la mission de construire l’Eglise ensemble.
Protégeons notre dimanche – resserrons les liens de notre communauté
La commission d’experts Justitia et Pax s’engage, sur mandat de la CES, dans l’„Alliance pour le dimanche“, largement soutenue, pour protéger le dimanche. Les évêques ont analysé, au cours de leur assemblée, l’état actuel de la question. Diverses interventions et initiatives parlementaires visant à étendre les heures d’ouverture des magasins et à assouplir l’interdiction du travail de nuit et du dimanche montrent que le jour chômé du dimanche est menacé de différents côtés. Les évêques sont convaincus que le congé du dimanche est une des institutions précieuses de notre société. Le dimanche place l’être humain dans un contexte plus vaste et montre que les activités économiques ont leur importance mais qu’elles ne sont pas sans limites. « Il importe que certains espaces et temps de vie continuent d’être soustraits à l’économie », comme le dit à juste titre la prise de position œcuménique « Protégeons notre dimanche, resserrons les liens de notre communauté » que la Conférence des évêques a publiée en 2005 avec la Fédération des Eglises protestantes et la Communauté de travail des Eglises chrétiennes. Cette prise de position n’a rien perdu de son actualité et est toujours valable. Il est possible de la télécharger sous le lien internet suivant :
http://www.juspax.ch/fr/nos-documents/publications/protegeons-notre-dimanch…
Abus sexuels dans le contexte ecclésial
Une nouvelle édition des directives intitulées « Abus sexuels dans le contexte ecclésial. Directives de la Conférence des évêques suisses et de l’Union des Supérieurs Majeurs religieux de Suisse » est actuellement en préparation. La nouveauté réside dans le fait que ces directives ne sont plus édictées seulement par la Conférence des évêques mais également par l’Union des Supérieurs Majeurs religieux de Suisse. L’extension du domaine de validité des directives est le mérite particulier de personnes ayant souffert d’abus sexuels dans les milieux d’Eglise et du silence qui les accompagnait – et qui, Dieu soit loué, n’ont pas cessé de parler de leur dignité humaine bafouée. Cette 3e édition sera publiée et entrera en vigueur dès la reconnaissance formelle des directives par le Saint-Siège.
La CES a pris connaissance des statistiques 2012 « Abus sexuels en contexte ecclésial » qui ont été établies par la commission d’experts « Abus sexuels dans la pastorale ». Le nombre de cas annoncés a fortement diminué. Les diocèses ont eu connaissance, en 2012, de 9 nouvelles victimes (2011 : 23 victimes) et de 9 nouveaux auteurs (2011 : 24 auteurs) sur la période allant de 1960 à 2012. Quatre des victimes sont des adolescents entre 12 et 16 ans, les autres annonces concernent des délits envers des adultes.
Mgr Norbert Brunner dépose sa charge
Mgr Norbert Brunner, évêque de Sion, a fait savoir à ses pairs qu’il avait annoncé au pape son désir de renoncer à la charge d‘évêque de Sion. Ceci, après plus de 40 ans d’activité dans la direction du diocèse dont 18 ans comme évêque. Le pape a accepté cette démission et chargé ses collaborateurs d’entamer les démarches nécessaires à la nomination d’un successeur de l’évêque de Sion. Mgr Norbert Brunner reste jusqu’à l’entrée en fonction de son successeur. Il est membre de la CES depuis 1995 et y a rempli de nombreuses charges. De 1998 à 2012, il a été membre du bureau de la CES dont il a assumé la présidence durant les trois dernières années.
En bref
- La CES a nommé Mgr Charles Morerod président national de « Catholica Unio Suisse». Il prendra la succession de Mgr Peter Henrici à cette charge. Elle a nommé Madame Maria Brun, Lucerne, au poste de secrétaire/directrice nationale. « Catholica Unio » est une œuvre catholique de soutien de l’Orient chrétien.
- la CES prend acte avec reconnaissance que la Fédération suisse des communautés israélites a nommé le rabbin David Bollag à la co-présidence de la commission de dialogue judéo/catholique-romaine.
- Plus de 300 jeunes de Suisse prennent part aux journées mondiales de la jeunesse qui se dérouleront en juillet à Rio de Janeiro. La CES est heureuse de leur participation. Elle leur souhaite, à eux ainsi qu’aux évêques qui les accompagneront, une enrichissante expérience d’Eglise et de foi.
Rencontres
- Mgr Diego Causero, archevêque et nonce apostolique en Suisse, a rendu une visite amicale à l’assemblée de la Conférence des évêques suisses. Il était accompagné de Mgr Mario Codamo, secrétaire de la nonciature à Berne.
- La Conférence des évêques a rencontré, après son assemblée, le conseil de fondation et la direction de l’Action de Carême. La rencontre a permis un échange d’informations et d’idées sur le développement et les perspectives de l’œuvre catholique d’entraide, notamment en ce qui concerne sa réorganisation en matière d’engagement en Suisse. Les évêques ont exprimé leurs remerciements et leur reconnaissance à l’Action de Carême pour le bien qu’elle fait.
Nominations
La Conférence des évêques suisses a nommé :
- Monsieur le curé Thomas Rey, Cham ZG, membre de la Commission „Evêques-Prêtres ».
- Madame Cristina Vonzun, dr ès théol., journaliste, Bellinzona TI, membre de la Commission pour la communication et les médias.
Einsiedeln SZ, 5 juin 2013
Conférence des évêques suisses
Walter Müller, chargé de l‘information
Avis aux rédactions :
Mgr Markus Büchel, président de la Conférence des évêques suisses, se tient à disposition des rédactions le jeudi 6 juin 2013 entre 14h00 et 15h00 au numéro +41 71 227 33 65 pour tous renseignements par téléphone.
D’autres informations peuvent être obtenues auprès du service de communication de la CES, tél. +41 26 510 15 15.