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Communiqué de presse
Le coronavirus crée une « envie de proximité » : la pastorale des personnes migrantes durant la période du coronavirus
A l’occasion de la journée des personnes migrantes du 27 septembre 2020, migratio, le service de la Conférence des évêques suisses pour les migrantes, les migrants et les gens en déplacement, a procédé à un petit sondage sur la « pastorale migratoire au temps du Covid-19 » auprès des communautés linguistiques qu’elle accompagne à l’échelon national. Le texte ci-dessous résume les résultats principaux du sondage.
De : Karl-Anton Wohlwend, directeur national a.i. de migratio, et Mirjam Kromer, collaboratrice scientifique auprès de migratio
Le coronavirus a placé l’Église catholique de Suisse face à de nombreux nouveaux défis. Les responsables de la pastorale et les fidèles y ont trouvé, au cours des six derniers mois, beaucoup de réponses – et de nouvelles questions. Créativité, empathie et plaisir d’expérimenter étaient requis. De nouvelles choses ont été tentées. Beaucoup ont réussi, d’autres, non.[1] La situation dans les communautés linguistiques (missions / aumôneries) était, sur bien des points, similaire à celle des paroisses locales « suisses ». La pastorale travaille en fonction de ses destinataires et des besoins. Le contexte migratoire influence les besoins (spirituels) de la plupart des membres des communautés linguistiques. La solitude, par exemple, n’est pas spécifique à la migration mais peut cependant être renforcée lorsque la famille d’une personne vit au loin ou que des barrières linguistiques isolent cette dernière. Des conditions dont les responsables de la pastorale des communautés linguistiques doivent tenir compte.
Mobilité numérique grâce à la migration
Avant la crise du coronavirus déjà, de nombreux membres des communautés linguistiques utilisaient Skype, Whatsapp et les médias sociaux pour rester en contact avec leurs proches et leurs ami·e·s au loin. Ils ont l’habitude de cette forme d’échanges et restent souvent très compétents en matière numérique jusqu’à un âge très avancé. La dimension spirituelle est cependant nouvelle ici aussi, comme l’a exprimé une mission : « La distance physique nous a rapprochés spirituellement, nous étions reliés par le chapelet quotidien, les prières du mercredi et les messes communes » - le tout, en ligne, le tout en direct. Et, à cause de cela : le tout, ensemble.
Célébrer la communauté et célébrer en tant que communauté
Il est frappant de voir combien l’aspect de la communauté constitue une part essentielle de la pratique religieuse dans les missions et aumôneries linguistiques ; cet aspect dépasse de loin la messe et la prière commune. Les communautés célèbrent ensemble mais elles célèbrent également la communauté elle-même. Preuve en est le programme varié – et usuel- qui encadre les messes et remplit souvent toute une journée. La disparition de ces lieux de rencontre et de communauté est donc particulièrement douloureuse pour beaucoup de membres des communautés linguistiques : « Cela nous manque beaucoup ». Cette « envie de proximité » a trouvé diverses solutions pour ne pas laisser les gens seuls et pour garder vivant le sentiment de communauté, par exemple, en organisant des rencontres ou des pause-café en ligne. A plusieurs endroits, la communauté s’est même renforcée : dans celles qu’on appelle les « missions des minorités », confiées à un seul prêtre qui célèbre régulièrement des messes à différents endroits de Suisse. Grâce aux messes diffusées en continu et interactives, aux catéchèses ou aux retraites pré-pascales, les fidèles, qui célèbrent sinon à des endroits différents, ont fait connaissance. D’autres qui avaient perdu le contact avec une mission l’ont renoué grâce à l’offre en ligne.
Pas malade mais touché quand même
Les conséquences du coronavirus se sont fait sentir de manière particulièrement radicale pour de nombreux fidèles des communautés linguistiques. C’est le cas, par exemple, pour les sans-papiers, notamment à Genève : au souci de la contamination s’ajoutaient souvent la perte du travail et l’impossibilité de s’annoncer à la commune. C’est aussi le cas, d’autre part, pour des personnes ayant des racines en Italie, en Espagne et en Amérique du Sud : presque tous connaissent quelqu’un qui est tombé malade. Beaucoup ont perdu un parent ou un ami. Le virus était tout à coup très présent. C’est pourquoi, ils ne reviennent qu’avec grande prudence sur les bancs de l’église. Les responsables de la pastorale dans ces communautés sont, en général, eux aussi, issus de la migration. Ils partagent donc cette expérience avec eux et peuvent répondre aux besoins que cette situation crée.
Ensemble en chemin vers le futur
migratio constate une grande reconnaissance dans les communautés linguistiques pour la route parcourue ensemble – surtout en cette période. Les derniers mois ont été, selon un missionnaire, riches d’enseignement sur bien des points. Beaucoup ont une conscience plus aiguë que nous ne nous suffisons pas à nous-même mais que nous avons besoin d’autrui, du vis-à-vis : l’humain ne peut exister qu’en communauté avec d’autres. De ce point de vue, le coronavirus ouvre des chances pour de nouvelles rencontres avec des communautés linguistiques ou avec des paroisses locales ainsi que pour une intensification de la coexistence accompagnée d’une valorisation de la cohabitation. migratio soutient par un projet cette évolution vers une intensification de la coexistence ces prochaines années. Il peut en naître quelque chose de neuf.
[1] cf., à ce propos, par exemple, l’étude œcuménique et internationale en cours sur l’action des Églises durant la période du coronavirus, avec un accent particulier sur l’aspect de la « numérisation » : Contoc (https://www.contoc.org/de/contoc).
Contact :
Karl-Anton Wohlwend, directeur national a.i. de migratio, 079 339 81 61, karl‑anton.wohlwend(a)migratio.ch<mailto:karlanton.wohlwend@migratio.ch>
Fribourg 24.9.2020
« migratio et la pastorale des personnes migrantes en Suisse »
Quelque 40% des fidèles catholiques en Suisse sont issus de la migration. Ils sont tous des membres d’une Église multilingue et multiculturelle et influencent de très différentes façons la vie ecclésiale. Pour tenir compte de cette diversité linguistique et culturelle des fidèles catholiques, la Suisse compte actuellement environ 110 missions ou aumôneries linguistiques chargées de leur accompagnement pastoral.[2] Une grande partie d’entre elles sont organisées à l’échelon cantonal ou local et quelques-unes à l’échelon national.
migratio est un service de la Conférence des évêques suisses qui a pour mission d’assurer une pastorale adéquate pour les migrantes et les migrants à l’échelon national. migratio est également co-responsable de l’aumônerie dans les centres fédéraux pour requérants d’asile, de la pastorale des gens du voyage ainsi que, depuis peu, de celle des forains et des gens du cirque.
Cette diversité de et dans l’Église constitue tout à la fois une chance et un défi. C’est pourquoi, la CES et la Conférence centrale catholique-romaine ont préparé un concept global relatif à l’avenir de la pastorale des personnes migrantes. Celui-ci doit permettre d’intensifier, ces prochaines années, la cohabitation tout en valorisant la coexistence.
« Pastorale catholique des gens du voyage »
En plus de la pastorale des personnes migrantes, migratio s’occupe aussi des gens en déplacement, dont les gens du voyage qui sont catholiques. Les jenisch sont des Suisses et des Suissesses ayant une culture (semi-)nomade, qui forment une minorité officielle reconnue en Suisse. La crise du coronavirus les a touchés particulièrement durement : beaucoup d’entre eux n’ont pas trouvé à travailler. De plus, la situation déjà souvent difficile de leurs aires de repos a empiré à cause des règles de distance à respecter. Un autre défi est le prosélytisme actif de nombreux mouvements religieux.
2 cf. Regula Ruflin, Samuel Wetz, Patrick Renz, Daniel Kosch, Pastorale des personnes migrantes en Suisse. Évaluation d’une enquête sur la situation actuelle et son analyse. Socialdesign AG sur mandat du Conseil de coopération de la CES et de la RKZ, Berne 2018.
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Encarnación Berger-Lobato
Responsable Secteur marketing et communication
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[1] cf., à ce propos, par exemple, l’étude œcuménique et internationale en cours sur l’action des Églises durant la période du coronavirus, avec un accent particulier sur l’aspect de la « numérisation » : Contoc (https://www.contoc.org/de/contoc).
[2] cf. Regula Ruflin, Samuel Wetz, Patrick Renz, Daniel Kosch, Pastorale des personnes migrantes en Suisse. Évaluation d’une enquête sur la situation actuelle et son analyse. Socialdesign AG sur mandat du Conseil de coopération de la CES et de la RKZ, Berne 2018.
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Comunicato stampa
«Nostalgia della vicinanza» e pandemia: la pastorale dei migranti ai tempi del coronavirus
In occasione della Giornata dei migranti del 27 settembre 2020, migratio, l’Ufficio della Conferenza dei vescovi svizzeri per migranti e itineranti, ha svolto un piccolo sondaggio sulla «Pastorale dei migranti al tempo di Covid-19» tra le comunità alloglotte che segue a livello nazionale. Il testo qui di seguito riassume i risultati più importanti del sondaggio.
Autori: Karl-Anton Wohlwend, direttore nazionale a.i. migratio, e Mirjam Kromer, collaboratrice scientifica migratio
In seguito alla pandemia da coronavirus, la Chiesa cattolica svizzera ha dovuto affrontare molte sfide nuove. Nel corso degli ultimi sei mesi, gli operatori pastorali e i fedeli hanno trovato numerose risposte a queste sfide – e anche nuove domande. La creatività, l’empatia e la gioia di sperimentare cose nuove sono state messe alla prova. Si sono percorse nuove strade. In molti casi con successo, in altri senza.[1] La situazione nelle comunità alloglotte (missioni/luoghi di pastorale) era per molti versi simile a quella delle parrocchie locali «svizzere». La cura pastorale è orientata ai destinatari e ai bisogni. Nel caso di comunità alloglotte, il background migratorio caratterizza i bisogni (spirituali) della maggioranza dei loro membri. La solitudine, ad esempio, non è un aspetto specifico della migrazione, tuttavia può essere esacerbato dalla storia migratoria di una persona, se ha la famiglia lontana o subisce l’isolamento dovuto a barriere linguistiche. Gli operatori pastorali delle comunità alloglotte devono tenerne adeguatamente conto.
Mobilità digitale legata alla propria storia di migrazione
Già prima della crisi causata dal coronavirus, nelle comunità alloglotte molte persone utilizzavano Skype, Whatsapp e i social media per rimanere in contatto con parenti e amici lontani. Sono abituate a questo tipo di comunicazione e spesso mantengono la propria competenza digitale fino in età avanzata. Ma anche in questi casi la dimensione spirituale è nuova. La seguente testimonianza arriva da una missione: «La distanza fisica ci ha avvicinati ancora di più spiritualmente, ci siamo sentiti legati nella recita quotidiana del rosario, nelle devozioni del mercoledì e nelle funzioni religiose comuni» - tutto online, tutto live. E quindi proprio per questo era anche tutto in comune.
Celebrare la comunità
Nel caso delle missioni e dei luoghi di pastorale alloglotti si nota quanto sia forte l’aspetto di comunità come parte essenziale della pratica di fede, che va ben oltre il culto e la preghiera comune. Le comunità non solo festeggiano insieme, ma celebrano anche la comunità stessa in quanto tale. Questo lo si può notare dal programma delle attività concomitanti alle funzioni religiose, che spesso riempie un’intera giornata. Il venir meno di questi luoghi di incontro e di comunità è quindi particolarmente doloroso per molti membri di comunità alloglotte: «ci mancano molto» – dichiarano. Questa «nostalgia della vicinanza» è stata affrontata in vari modi, nell’intento di non lasciare le persone sole e per mantenere vivo il senso di comunità, ad esempio attraverso incontri comunitari online o caffetterie online. Così in alcuni luoghi la comunità è addirittura cresciuta: le cosiddette «missioni minoritarie» sono seguite singolarmente da un sacerdote, che celebra regolarmente con loro le funzioni religiose in diverse località della Svizzera. Tramite funzioni religiose interattive e in streaming, catechesi o ritiri spirituali prima della Pasqua, i fedeli, che altrimenti celebrano in luoghi diversi, hanno avuto modo di conoscersi. E altri che avevano perso il contatto con una missione lo hanno ritrovato proprio attraverso le proposte online.
Non malati, ma comunque colpiti
Alcuni fedeli delle comunità alloglotte hanno sperimentato gli effetti del coronavirus in modo particolarmente drastico. Ad esempio, i sans-papiers, soprattutto a Ginevra: oltre alla paura del contagio, hanno spesso subito la perdita del lavoro e l’impossibilità di recarsi negli uffici. Ci sono poi persone che hanno le loro radici in Italia, Spagna o in America Latina: quasi ognuna di loro conosce qualcuno che si è ammalato. Molte hanno perso un parente o un amico e hanno sentito il virus improvvisamente molto vicino. Per questo tornano sui banchi delle chiese solo con grande cautela. Gli operatori pastorali di queste comunità hanno di solito un background migratorio simile a quello degli altri membri della comunità linguistica. Condividono quindi questo orizzonte di esperienze e possono rispondere alle esigenze che ne derivano.
Insieme sulla strada del futuro
Tra le comunità alloglotte, migratio percepisce una grande senso di gratitudine per essere in cammino insieme a loro - soprattutto in questo momento. Secondo un missionario, gli ultimi mesi sono stati istruttivi sotto molti aspetti. Molte persone sono diventate più consapevoli del fatto che non siamo in grado di bastare a noi stessi e abbiamo invece bisogno degli altri, della nostra controparte: l'uomo può esistere solo in comunità con gli altri. Da questo punto di vista, il coronavirus offre l’opportunità di fare nuovi incontri con comunità alloglotte o parrocchie locali e sviluppare anche un maggior senso di appartenenza e una maggiore consapevolezza del valore della convivenza. Nei prossimi anni migratio sosterrà questo percorso di pastorale d’insieme con un progetto. Da ciò potranno nascere cose nuove.
[1] Si veda ad esempio il corrente studio ecumenico e internazionale sull'azione della Chiesa nel periodo del coronavirus, con particolare attenzione all'aspetto della «digitalità», su Contoc (https://www.contoc.org).
Contatto:
Karl-Anton Wohlwend, Direttore nazionale a.i. migratio, 079 339 81 61, karl‑anton.wohlwend(a)migratio.ch<mailto:karlanton.wohlwend@migratio.ch>
Friburgo 24.9.2020
«migratio e pastorale dei migranti in Svizzera»
In Svizzera, quasi il 40% dei cattolici ha un background migratorio. Sono tutti membri di un’unica chiesa multilingue e culturalmente varia e contribuiscono a plasmare la vita ecclesiale in vari modi. Per tener conto del plurilinguismo e della diversità culturale dei cattolici in Svizzera, attualmente sono disponibili per la loro cura pastorale circa 110 missioni o centri di cura pastorale in altre lingue.[2] La maggior parte di esse è organizzata a livello cantonale o locale, alcune sono organizzate a livello nazionale.
In qualità di Ufficio della Conferenza dei vescovi svizzeri (CVS), migratio ha la responsabilità di garantire un’adeguata cura pastorale per i migranti a livello nazionale. migratio condivide anche la responsabilità della cura pastorale nei centri federali di asilo, la cura pastorale degli itineranti e, come nuovo servizio, la cura pastorale di giostrai e artisti circensi.
Questa molteplicità della (e nella) Chiesa rappresenta un’opportunità e al tempo stesso una sfida. Per questo motivo, insieme alla Conferenza centrale cattolica romana della Svizzera, la CVS ha elaborato un piano globale per il futuro della pastorale dei migranti. Il piano deve servire come base per lavorare insieme, nei prossimi anni, all’obiettivo di promuovere un maggior senso di appartenenza e una consapevolezza del valore della convivenza.
«Pastorale cattolica degli itineranti»
L’Ufficio migratio non è solo responsabile della cura pastorale dei migranti, ma anche delle persone in cammino. Questo include gli itineranti cattolici. Gli Jenish sono cittadine e cittadini svizzeri di cultura nomade o seminomade e costituiscono una minoranza ufficialmente riconosciuta in Svizzera. La crisi dovuta al coronavirus li ha colpiti in modo particolarmente duro: molti di loro hanno perso il lavoro. Inoltre, la situazione, spesso di per sé già difficile, è ulteriormente peggiorata a causa delle necessarie regole di distanziamento. Un’altra sfida è costituita dal lavoro missionario attivo di alcuni movimenti religiosi.
2 Cfr. Regula Ruflin, Samuel Wetz, Patrick Renz, Daniel Kosch, Migrantenpastoral in der Schweiz. Auswertung einer Erhebung der Ist-Situation und ihrer Beurteilung. Socialdesign AG su incarico del Consiglio di cooperazione CVS-RKZ, Berna 2018.
Encarnación Berger-Lobato
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[1] Si veda ad esempio il corrente studio ecumenico e internazionale sull'azione della Chiesa nel periodo del coronavirus, con particolare attenzione all'aspetto della «digitalità», su Contoc (https://www.contoc.org).
[2] Cfr. Regula Ruflin, Samuel Wetz, Patrick Renz, Daniel Kosch, Migrantenpastoral in der Schweiz. Auswertung einer Erhebung der Ist-Situation und ihrer Beurteilung. Socialdesign AG su incarico del Consiglio di cooperazione CVS-RKZ, Berna 2018.
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Communiqué de presse
Gabrielle Desarzens est la lauréate 2020 du Prix catholique des médias de la Conférence des évêques suisses
La journaliste Gabrielle Desarzens obtient le Prix des médias, octroyé par la Conférence des évêques suisses, pour son reportage radiophonique « Cul-de-sac bosnien »<https://www.rts.ch/play/radio/hautes-frequences/audio/cul-de-sac-bosnien?id…> sur la RTS. Le Prix catholique des médias est doté de 4'000 francs.
Dans « Cul-de-sac bosnien »<https://www.rts.ch/play/radio/hautes-frequences/audio/cul-de-sac-bosnien?id…>, la journaliste dépeint avec empathie, grand respect et sans préjugés la situation des migrantes et des migrants bloqués en Bosnie par la frontière croate de l’Espace Schengen. Ce reportage informe, d’une part, de la situation d’impasse dans laquelle se trouvent différents personnages, tout en rayonnant, d’autre part, d’une curiosité chrétienne pour la vie quotidienne et les perspectives d’avenir de ces réfugiés. La journaliste réussit à rendre la réalité – sans porter de jugement sur ses protagonistes ou la politique. Il est visible que le sort des migrantes et des migrants lui tient à cœur. « Cul-de-sac bosnien »<https://www.rts.ch/play/radio/hautes-frequences/audio/cul-de-sac-bosnien?id…> est un épisode de la série « Hautes fréquences » de RTSReligion.
L’émission montre – selon le jury – cette problématique aigüe qui nous concerne tous sous de nombreux angles différents et variés. Elle fait montre d’un grand professionnalisme et se fonde sur un travail journalistique solide.
Mention spéciale pour le spectacle « Ich habe den Himmel gegessen » de Christine Lather et Felix Huber
Le jury a également décidé d’octroyer une mention spéciale au spectacle « Ich habe den Himmel gegessen (J’ai mangé le ciel) »<https://www.himmelgegessen.ch/>. Le choix, la mise en musique et l’interprétation de textes originaux de Silja Walter ont séduit le jury. Christine Lather (texte, interprétation et chant) et Felix Huber (composition et accompagnement au piano) arrivent à saisir et à partager, dans un programme d’une bonne heure, la vie et la spiritualité de la religieuse et poétesse, ainsi que sa constante recherche de mots pour parler de Dieu. La mise en scène est une adaptation artistique très réussie de la poésie et des écrits de Silja Walter. La représentation est de grande qualité et susceptible d’encourager d’autres artistes à se confronter plus, à leur manière, aux questions de la foi. Le jury, qui a jugé le spectacle uniquement sur sa version enregistrée, a estimé ce « monologue en chansons » si captivant qu’il donne à l’auditrice/l’auditeur, un aperçu « parlant » de la vie conventuelle.
La mention spéciale est dotée de 1‘000 francs.
Le jury
Le jury du Prix catholique des médias 2020, sous la présidence d’Anita Capaul, directrice de la Chasa Editura Rumantscha, se compose de :
- Mgr Alain de Raemy, évêque auxiliaire du diocèse de Lausanne, Genève et Fribourg, responsable des médias
- Davide Adamoli, journaliste et archiviste, diocèse de Lugano
- Encarnación Berger-Lobato, responsable du marketing et de la communication de la Conférence des évêques suisses
- Bernard Litzler, directeur du centre catholique des médias de Lausanne
- Harry Ziegler, rédacteur en chef du quotidien Zuger Zeitung
Remise des prix
La remise des prix est publique et aura lieu le
16 novembre 2020, à 18h00
dans la rotonde du centre paroissial de l’église de la Trinité à Berne
Taubenstrasse 4, 3011 Berne
(Plan<https://www.kathbern.ch/fileadmin/user_upload/Pfarreien/Dreifaltigkeit/Doku…> : Entrée par la Sulgeneckstrasse)
La remise des prix se fera en présence de Mgr Alain de Raemy qui prononcera l’éloge.
Programme :
18h00 Représentation de « Ich habe den Himmel gegessen »
19h15 Apéritif
19h45 Remise du Prix catholique des médias 2020 et éloge
Inscription sur info(a)bischoefe.ch<mailto:info@bischoefe.ch>.
Gabrielle Desarzens travaille comme journaliste à la radio – en premier lieu à la Radio Télévision Suisse RTS. Elle avait déjà effectué divers reportages sur les migrants mineurs non accompagnés : en 2015, en Sicile et à Lampedusa ; en 2016, dans la « jungle » de Calais et, en 2017 ainsi qu’en 2018, en Grèce, sur l’île de Lesbos.
Christine Lather se produit sur scène depuis 30 ans comme chanteuse et actrice. Durant le temps intensif de préparation de la pièce « Ich habe den Himmel gegessen », elle a noué une profonde amitié avec les femmes du couvent de Fahr, (www.christinelather.ch<http://www.christinelather.ch>).
Felix Huber est compositeur, pianiste et improvisateur de musique jazz, klezmer et du monde. Il compose pour des ensembles classiques et de tango et il a gagné différents prix de composition (www.felixhuber.ch<http://www.felixhuber.ch> ).
Le Prix catholique des médias de la Conférence des évêques suisses
En signe de reconnaissance et d’estime face au travail et à la responsabilité du travail médiatique et de publication, les évêques suisses décernent le Prix catholique des médias. Par ce biais, ils souhaitent primer les ouvrages et les initiatives qui rendent compte du message de l'Évangile en dehors des médias et des moyens de communication propres à l'Église.
Lien vers le communiqué de presse<http://www.eveques.ch/content/view/full/14469>
Encarnación Berger-Lobato
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Comunicato stampa
Gabrielle Desarzens vince il Premio cattolico dei media 2020 della Conferenza dei vescovi svizzeri
La giornalista Gabrielle Desarzens vince l'edizione 2020 del Premio dei media della Conferenza dei vescovi svizzeri per il servizio radiofonico «Cul-de-sac bosnien»<https://www.rts.ch/play/radio/hautes-frequences/audio/cul-de-sac-bosnien?id…> trasmesso dalla RTS. Il Premio cattolico dei media ammonta a 4000 franchi.
In «Cul-de-sac bosnien»<https://www.rts.ch/play/radio/hautes-frequences/audio/cul-de-sac-bosnien?id…> Desarzens presenta con empatia, grande rispetto e senza pregiudizi la situazione dei migranti «bloccati» in Bosnia al confine con la Croazia e lo spazio Schengen. Da un lato, il reportage informa sulla situazione di «vicolo cieco» in cui si trovano molte persone e, dall'altro, stimola una curiosità cristiana per la vita quotidiana e le prospettive di questi rifugiati. La giornalista riesce a trasmettere un'immagine realistica, senza condannare né i soggetti né la politica. Che il destino dei migranti le sta a cuore è tangibile. «Cul-de-sac bosnien»<https://www.rts.ch/play/radio/hautes-frequences/audio/cul-de-sac-bosnien?id…> fa parte della serie «Hautes fréquences» di RTSreligion.
Secondo la giuria, la trasmissione offre tante diverse prospettive su una problematica acuta che riguarda noi tutti. Brilla per grande professionalità e poggia su un solido lavoro giornalistico.
Menzione speciale per l'allestimento «Ich habe den Himmel gegessen» di Christine Lather e Felix Huber
La giuria ha inoltre deciso di conferire una menzione speciale allo spettacolo «Ich habe den Himmel gegessen»<https://www.himmelgegessen.ch/>. La selezione, la sonorizzazione e l'interpretazione dei testi originali di Silja Walter hanno convinto la giuria. In uno spettacolo di circa un'ora, Christine Lather (testo, recitazione e canto) e Felix Huber (composizione e accompagnamento al pianoforte) riescono a cogliere e a trasmettere la vita e la spiritualità della suora e della poetessa, la sua ricerca permanente di parole per parlare di Dio. L'allestimento rappresenta un'esposizione artistica molto ben riuscita della poesia lirica e degli scritti di Silja Walter. L'esibizione è di altissima qualità e può spronare altri artisti ad affrontare in misura maggiore le tematiche legate alla fede da una prospettiva personale. Per la giuria, che ha giudicato soltanto la versione audio su CD, la realizzazione del «monologo con i brani musicali» è talmente coinvolgente che l' «ascoltatore» può «vedere» la vita» all'interno di una comunità monastica.
La menzione speciale è dotata di 1000 franchi.
La giuria
La giuria del Premio cattolico dei media 2020, presieduta da Anita Capaul, direttrice della Chasa Editura Rumantscha, è composta da:
- Alain de Raemy, vescovo ausiliare della diocesi di Losanna, Ginevra e Friburgo, responsabile dei media
- Davide Adamoli, giornalista e archivista, diocesi di Lugano
- Encarnación Berger-Lobato, responsabile Marketing e Comunicazione, Conferenza dei vescovi svizzeri
- Bernard Litzler, direttore del Centro cattolico dei media di Losanna
- Harry Ziegler, caporedattore Zuger Zeitung
Premiazione
La premiazione avrà luogo nell'ambito di una cerimonia pubblica
il 16 novembre 2020, alle ore 18.00,
nella Rotonda del Pfarreizentrum Dreifaltigkeit a Berna
Taubenstrasse 4, 3011 Berna
(Mappa di orientamento<https://www.kathbern.ch/fileadmin/user_upload/Pfarreien/Dreifaltigkeit/Doku…>: Utilizzare l'ingresso dalla Sulgeneckstrasse)
La premiazione si svolgerà in presenza del vescovo ausiliare Alain de Raemy, che pronuncerà la laudatio.
Programma:
Ore 18.00: spettacolo «Ich habe den Himmel gegessen»
Ore 19.15: aperitivo
Ore 19.45: premiazione, Premio cattolico dei media 2020 e laudatio
Iscrizione all'indirizzo info(a)bischoefe.ch<mailto:info@bischoefe.ch>.
Gabrielle Desarzens lavora come radiogiornalista principalmente per Radio Télévision Suisse RTS. In precedenza ha realizzato diversi reportage sulla questione migratoria con focus sui rifugiati minori non accompagnati: 2015 in Sicilia e Lampedusa; 2016 nella «giungla» di Calais come pure nel 2017 e nel 2018 in Grecia e sull'isola di Lesbo.
Christine Lather cantante e attrice da 30 anni in scena. Durante l'intenso periodo di preparazione dello spettacolo «Ich habe den Himmel gegessen» si è sviluppata una profonda amicizia con le suore del convento di Fahr (www.christinelather.ch<http://www.christinelather.ch>).
Felix Huber compositore, pianista e musicista dedito alle improvvisazioni nei generi musicali jazz, klezmer e musica world. Compone per ensemble di musica classica e tango e ha vinto numerosi premi per le sue composizioni (www.felixhuber.ch<http://www.felixhuber.ch> ).
Premio cattolico dei media della Conferenza dei vescovi svizzeri
In segno di riconoscenza e di stima per il lavoro di responsabilità svolto dai media, ogni anno i vescovi svizzeri conferiscono il Premio cattolico dei media. Con questo riconoscimento premiano opere e iniziative che diffondono il messaggio del Vangelo al di fuori dei media ecclesiastici.
Link al comunicato stampa<http://www.ivescovi.ch/content/view/full/14469>
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Communiqué de presse
Lesbos : épuiser toutes les possibilités
La 329e assemblée ordinaire de la Conférence des évêques suisses (CES) s’est déroulée du 14 au 16 septembre 2020 au Centre Saint-François de Delémont.
Épuiser toutes les possibilités
Depuis l’appel de Pâques des trois Églises nationales en faveur des requérants d’asile des îles grecques, la situation à Lesbos de ces personnes en quête de protection s’est encore dégradée de manière dramatique avec l’incendie dans le camp de réfugiés de Moria. Les évêques expriment leur profonde consternation du malheur qui se déroule sous nos yeux et ils saluent la volonté du Conseil fédéral d’accueillir rapidement en Suisse 20 mineurs du camp de Moria. Ils ont aussi pris acte avec confiance que certaines villes suisses sont prêtes à accueillir d’autres réfugiés et appellent les institutions ecclésiales à étudier la possibilité d’accueillir des réfugiés de Moria et de leur fournir un logement et un suivi dans la mesure de leurs moyens. Bien que l’admission de ces personnes doive être résolue au niveau international et ne puisse être l’affaire d’un seul pays, la CES estime que toute démarche que la Suisse peut faire dans le cadre de ses possibilités, aussi petite soit-elle, est importante. La CES remercie toutes celles et ceux qui s’engagent concrètement en faveur des réfugiés sur l’île de Lesbos et permettent ainsi à des gens de vivre dans la dignité.
Instruction de la Congrégation pour le Clergé
L’Instruction « La conversion pastorale de la communauté paroissiale au service de la mission évangélisatrice de l’Église » du 29 juin 2020 a provoqué diverses réactions. Si les réalités dans chaque diocèse sont très différentes, certaines questions fondamentales se posent partout. Bien que l’Église catholique en Suisse puisse se prévaloir d’une grande expérience en matière de collaboration entre personnes consacrées et laïques dans le service ecclésial, des questions restent irrésolues ou difficiles. La publication de cette Instruction romaine laisse cependant toujours ouverte la question épineuse de savoir comment résoudre la tension entre un quotidien rôdé et les directives de l’Église universelle.
Les membres de la CES tiendront une discussion approfondie sur cette importante question, notamment en vue de la visite de tous les évêques à Rome (visite ad limina) de la fin janvier 2021.
Abus sexuels dans le contexte ecclésial
La CES a pris acte des statistiques 2019<http://www.eveques.ch/content/view/full/14463> sur les cas d’abus sexuels commis dans le contexte ecclésial qui ont été annoncés auprès des commissions d’experts diocésaines. Six abus pour cinq annonces concernent des cas actuels, commis après les années 2000. Il n’y avait de relations de dépendance dans aucun d’entre eux.
29 cas prescrits ont été annoncés également, dont 21 ont été commis entre 1950 et 1980 et 8 entre 1981 et 2000.
Les statistiques montrent que les mesures prises depuis 2002 font effet. Le nombre des annonces est du même ordre que ces dernières années (les cas annoncés à la CECAR<http://cecar.ch/wordpress/>, que celle-ci traite directement, ne sont pas inclus).
Les commissions d’experts diocésaines encouragent une nouvelle fois les victimes à s’annoncer soit auprès d’elles soit auprès des centres cantonaux d’aide aux victimes.
Réélection du secrétaire général de la CES
La CES a confirmé dans sa fonction l’actuel secrétaire général de la CES, Erwin Tanner, pour trois années supplémentaires. Les membres de la CES le remercient de leur bonne collaboration et lui adressent leurs vœux pour cette quatrième période.
Rencontre avec le nonce apostolique
La CES a accueilli, pour sa traditionnelle visite, le nonce apostolique de Suisse, Mgr Thomas Edward Gullickson, accompagné de son conseiller de nonciature, Mgr José Manuel Alcaide Borreguero.
Nominations
La CES a nommé Mr Karl-Anton Wohlwend, directeur national a.i. du service migratio, pour la représenter officiellement auprès de la Commission internationale catholique pour les migrations (CICM)<https://www.icmc.net/>.
Elle a également donné une nouvelle membre à la commission d’experts « Abus sexuels dans le contexte ecclésial » en la personne de Mme Regula Schwager, psychologue et psychothérapeute avec reconnaissance fédérale. Elle est co-directrice de Castagna, un centre de consultation pour les enfants et adolescents abusés ainsi que pour les adultes abusés dans leur enfance.
Pèlerinage à la chapelle du Vorbourg
Les évêques ont entrepris ensemble un pèlerinage du Centre Saint-François vers la chapelle proche du Vorbourg. Celle-ci est le plus ancien sanctuaire marial du Jura. Mgr Felix Gmür y a présidé la messe qui, coronavirus oblige, n’était pas ouverte au public.
Le communiqué de presse relatif à la rencontre du 15.09.2020 entre la CES et la LSFC se trouve ici<http://www.eveques.ch/documents/communiques/nous-sommes-au-debut-du-chemin>
Delémont, 16 septembre 2020
Lien vers le communiqué de presse<http://www.eveques.ch/content/view/full/14462>
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Encarnación Berger-Lobato
Responsable Marketing & Communication
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Communiqué de presse
Nous sommes au début du chemin
La Conférence des évêques suisses (CES), une délégation du Conseil des femmes de la CES et une délégation de la Ligue suisse des femmes catholiques (LSFC) se sont rencontrées, le 15 septembre 2020, à l’occasion de la 329e assemblée ordinaire de la CES à Delémont /JU. La rencontre se déroulait dans le cadre du processus « En chemin ensemble pour renouveler l’Église ». Les buts que s’étaient fixés ensemble la CES et la LSFC n’ont pas pu être tous atteints. Mais la rencontre s’est avérée fructueuse malgré tout.
La délégation de la LSFC se composait de femmes de l’ensemble de la Ligue : les sociétés locales étaient représentées par Annemarie Mattioli (Frauenverein, Horgen), Christiane Talary (Frauen für Frauen, Leimbach) et Ursi Camenzind (Frauengemeinschaft Muolen). Catherine Ulrich et Marie-Christine Conrath participaient en tant que membres individuelles, pour « Le Réseau des femmes en Église », engagé dans le diocèse Genève-Lausanne-Fribourg. Miriam Christen-Zarri était présente en tant que présidente de l’association cantonale d’Uri. Angelika Hecht représentait l’association cantonale de Zurich et Jacqueline Bollhalder, celle de St-Gall-Appenzell. Le point de vue de l’association faîtière était défendu par sa présidente Simone Curau-Aepli et Iva Boutellier, membre du comité, ainsi que Silvia Huber, chargée des questions théologiques. La délégation de la CES se composait de ses membres ainsi que de deux représentantes du comité du Conseil des femmes de la CES, Marlies Höchli-John et Claudia Ibarra Arana.
Une rencontre historique
Si chacun des évêques dialogue déjà avec des femmes et des hommes sur la question du renouveau et si des représentantes de la LSFC discutent avec différents évêques, notamment avec Mgr Denis Theurillat, responsable de la question des femmes dans l’Église et président du Conseil des femmes de la CES, cette rencontre historique entre la CES, la LSFC et le Conseil des femmes n’en reste pas moins une première, comme le releva Mgr Felix Gmür. Les délégations étaient unanimes sur le fait qu’un renouveau sans l’implication des femmes n’est pas possible, même si les positions de la LSFC ne reflètent pas celles de toutes les femmes dans l’Église catholique. La rencontre à Delémont se structurait autour de quatre ateliers basés sur des citations tirées de l’exhortation apostolique post-synodale « Querida Amazonia » du pape François. La quintessence des passages 99 à 103, qui traitent de la place et de l’importance des femmes dans l’Église catholique, synthétisée au préalable en quatre phrases par un groupe préparatoire de la CES et de la LSFC, a été discutée dans des groupes mixtes avant d’être approfondie ensemble, en séance plénière. Ceci, malheureusement, en l’absence regrettée de Mgr Denis Theurillat qui avait fortement œuvré à la préparation de la rencontre mais qui, s’étant blessé la veille au bras droit lors d’une chute, ne put prendre part à la rencontre.
Objectifs pas encore atteints mais pertinents
La CES et la LSFC profitèrent de la rencontre pour faire mieux connaissance et entamer un dialogue. Les ateliers montrèrent leur volonté mutuelle de découvrir le point de vue de l’autre avec une curiosité bienveillante. « Le fait que ce jour ait eu lieu, était important. Prendre conscience de l’autre, dans la compréhension comme dans l’incompréhension, est important » a constaté le président de la CES, Mgr Felix Gmür. Les attentes envers une Église constructive et vivante, où les rapports sont égalitaires, respectueux et ouverts, ont été discutées sans cependant déboucher sur des résultats concrets. Il en a été de même pour la formulation d’attentes vis-à-vis du processus « En chemin ensemble pour renouveler l’Église » et la manière de le mener.
Miriam Christen-Zarri pronostiqua que les prochaines étapes de la poursuite du dialogue entre la CES et la LSFC, ainsi que le succès du processus de renouveau engagé se mesureraient à la manière dont la CES fera usage de ce qu’elle apprendra. Une conférence de presse commune ainsi qu’un entretien d’évaluation, déjà prévu pour la mi-octobre, sont des jalons posés pour poursuivre le cheminement commun.
Les voix des femmes comme voix de co-décision
Il y avait un large consensus sur le fait que les femmes devaient avoir plus de place dans les ministères ainsi que dans les fonctions de direction de l’Église catholique-romaine. Toutes les personnes présentes ont reconnu que c’était chose faite dans certains diocèses. La LSFC a relevé que cette évolution devait encore être encouragée, « parce que le droit canonique accorde le pouvoir de direction au ministère ordonné. Les femmes (et les hommes non ordonnés) sont, de ce fait, exclus des processus décisionnels », selon Iva Boutellier.
Les discussions ont aussi souligné à plusieurs reprises le défi que représente d’arriver à un renouveau de l’Église dans ce domaine aussi bien dans la fidélité à la Révélation apportée par les Saintes Écritures, tout spécialement par les paroles et les actes de Jésus, que dans le cadre des directives de l’Église universelle. Simone Curau‑Aepli exhorta les évêques à assumer leur responsabilité de veiller à des structures saines et modernes dans l’Église.
Reconnaître la souffrance des femmes
Les représentantes de la LSFC se défendirent avec véhémence du reproche que la LSFC est intéressée avant tout par la question du pouvoir. Elles se sont dit motivées par leur volonté d’assumer des responsabilités pour l’Église catholique-romaine. A leur avis, le renouveau ne peut passer que par une organisation participative de l’Église. De plus, de nombreuses femmes souffrent profondément de n’avoir qu’un rôle de quémandeuses ou de consultantes. Les femmes ne doivent pas se contenter que les hommes parlent des femmes plutôt que les laisser s’exprimer elles-mêmes. « Tant que nous ne parlerons pas des blessures du passé, nous n’aurons aucun avenir commun sain. Il faut beaucoup d’empathie », déclara Karin Ottiger, co-directrice de la LSFC.
Obligations de changement
« Les diocèses ne peuvent pas espérer que tout reste tel quel », dit Mgr Charles Morerod, « car nous ne sommes plus crédibles. Il faut une conversion commune. Il faut un changement. Je dois cependant avouer que, en ce moment, je ne sais pas ce que nous pourrions changer concrètement et comment. »
Un dialogue véritable implique de prendre un risque et de devenir plus sage. Il faut, pour cela, de l’espace pour des idées et du courage pour des expérimentations, selon Gaby Wiser, spécialiste en communication, qui animait la rencontre. Et Simone Curau-Aepli de conclure sur ces paroles encourageantes : « Aujourd’hui, nous avons toutes et tous pris le risque de devenir plus sages. Nous voulons continuer à le faire ensemble, nous rencontrer à nouveau et analyser où et comment continuer à nous engager concrètement pour ce renouveau ».
Adresses de contact pour les questions des médias
* Encarnación Berger-Lobato, responsable du marketing et de la communication de la CES, berger-lobato(a)bischoefe.ch<mailto:berger-lobato@bischoefe.ch>, 079 552 04 40
* Marlies Höchli-John, comité du Conseil des femmes de la CES, mhoechli(a)web.de<mailto:mhoechli@web.de>, 076 490 15 88
* Simone Curau-Aepli, présidente LSFC, simone.curau(a)frauenbund.ch, 076 430 37 69
* Sarah Paciarelli, communication de la LSFC, sarah.paciarelli(a)frauenbund.ch, 078 611 511 7
Vous pouvez trouvez ici des impressions de la rencontre CES-LSFC.<http://www.eveques.ch/content/view/full/14446>
Conférence des évêques suisses (CES)
La Conférence des évêques suisses a été fondée en 1863 ; elle a été la première assemblée au monde des évêques d’un pays à se rassembler régulièrement, à avoir une structure juridique et exercer des fonctions de direction ecclésiale. Constituée en association, elle réunit les évêques catholiques de tous les diocèses ainsi que les abbés des abbayes territoriales de Suisse. Son organe suprême est l’assemblée ordinaire de tous les évêques, qui se rencontre quatre fois par année. www.eveques.ch<http://www.eveques.ch>
LSFC Ligue suisse des femmes catholiques
La LSFC, Ligue suisse des femmes catholiques, forte de 130'000 membres, 18 associations cantonales et 600 sociétés locales, est la plus grande association faîtière féminine confessionnelle de Suisse. La LSFC défend les droits de toutes les femmes dans la société, l’Église, l’économie et la politique. www.frauenbund.ch<http://www.frauenbund.ch/>
Fribourg et Lucerne, 18 septembre 2020
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Encarnación Berger-Lobato
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Invitation à la conférence de presse
La Conférence des évêques suisses (CES) vous invite à la conférence de presse qui suivra sa 329e assemblée ordinaire des 14-16 septembre à Delémont (Centre St-François). Celle-ci se tiendra le
vendredi 18 septembre 2020, à 10h30,
dans la rotonde du centre paroissial de l'église de la Trinité à Berne
Taubenstrasse 4, 3011 Berne
(Plan<https://www.kathbern.ch/fileadmin/user_upload/Pfarreien/Dreifaltigkeit/Doku…> : Entrée par la Sulgeneckstrasse)
Seront présents :
Mgr Felix Gmür, évêque de Bâle et président de la CES
Mgr Denis Theurillat, membre de la CES et président du Conseil des femmes de la CES
Mme Marlies Höchli-John, membre du comité du Conseil des femmes de la CES
Mr Erwin Tanner, secrétaire général de la CES
Mme Simone Curau-Aepli, présidium SKF, Ligue suisse des femmes catholiques
Mme Miriam Christen-Zarri, membre du comité SKF, Ligue suisse des femmes catholiques
Mme Iva Boutellier, membre du comité SKF, Ligue suisse des femmes catholiques
Présentation :
Mme Encarnación Berger-Lobato, responsable marketing & communication de la CES
Sujet principal :
Rencontre du 15 septembre, à Delémont, entre la CES, le Conseil des femmes de la CES et la Ligue suisse des femmes catholiques sur la question de « En chemin Ensemble pour renouveler l'Église ».
Toutes les personnes présentes se tiendront à disposition, à l'issue de la conférence, pour de brèves interviews. Celles-ci se feront dans l'ordre dans lequel les journalistes se seront annoncés. Vous nous facilitez donc l'organisation en vous annonçant pour la conférence de presse par courriel ou par téléphone au plus tard jusqu'au 17 septembre 2020 (Tél. +41 26 510 15 15, secretariat(a)conferencedeseveques.ch<mailto:secretariat@conferencedeseveques.ch?subject=Anmeldung%20Medienkonferenz>) et en nous faisant savoir à ce moment-là si vous souhaitez faire une interview. Un grand merci d'avance !
Cordiales salutations
Encarnación Berger-Lobato
Responsable Secteur marketing et communication
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Communiqué de presse
Ils jettent des ponts et sont des modèles de la foi : la commission de dialogue protestants/catholiques-romains de Suisse CDPC présente avec « Heilig (Saint) » une publication passionnante sur les saints
La CDPC se risque, avec le petit livre consacré au « Saint », sur un terrain nouveau et passionnant sur le plan œcuménique. Elle veut ainsi rendre attentif au rôle de pont des saints. La publication contient six biographies très différentes. Toutes montrent l’importance qu’ont des modèles authentiques pour la foi et pour l’Église. Les portraits en seconde partie veulent illustrer que les gens ne deviennent pas des saints par leurs actions mais par l’amour et les trésors que Dieu a déposés en eux.
L’intention
Aborder dans le dialogue protestant/catholique-romain des sujets qui divisent les confessions est toujours délicat. L’expérience de ces dernières années a cependant montré que c’est précisément en examinant les différences qu’il est possible de trouver une position commune qui soit acceptable. Un de ces sujets délicats est la vénération des saints. La découverte de l’importance de la spiritualité pour l’œcuménisme a amené à étudier ce que le sujet apportait au vivre-ensemble œcuménique des protestants et des catholiques en Suisse ; ceci dans le but d’un enrichissement mutuel issu de chaque tradition.
Sur mandat de la Conférence des évêques suisses et de l’Église évangélique réformée de Suisse, la CDPC a traité le thème des « Saints-modèles de foi », un sujet qui lui tenait très à cœur à elle aussi. Chaque membre de la commission a rédigé un texte sur un·e saint·e ou sur une personne exemplaire librement choisie dans l’œcuménisme chrétien. Les portraits de la travailleuse sociale française Madeleine Delbrêl (1904-1964), également écrivaine et mystique catholique, de l’intellectuelle juive néerlandais Etty Hillesum (1914-1943), de la carmélite française Thérèse de Lisieux (1873-1897), du théologien et écrivain protestant allemand Jochen Klepper, de la fondatrice du mouvement catholique des focalari Chiara Lubich (1920-2008) et du deuxième secrétaire général des Nations Unies Dag Hammarskjöld (1905-1961) nous font rencontrer des personnages dont la vie fait resplendir un peu de la sainteté de Dieu. Toutes et tous ont mené une vie pleine de contradictions, au service des autres, marquée par un tournant décisif dans leur biographie.
Hier un sujet controversé – qui a aujourd’hui un potentiel œcuménique
« Plus nous approfondissions le sujet, plus nous le constations : les saints ne divisent plus nos Églises, ils les rapprochent plutôt. Bien sûr que la vie des saints et leur vénération ont beaucoup de choses déconcertantes et sont matière à discussions au sein de l’Église catholique et aussi entre les Églises. Mais s’intéresser à des personnes qui ont vécu leur vie consciemment devant Dieu recèle plutôt le potentiel d’une manière commune d’être chrétien et d’être Église : nous découvrons plus de points communs dans la foi et nous découvrons sa pertinence pour les gens d’aujourd’hui. Nous apprenons comment la foi peut transformer les gens et peut amener à la profondeur et à mener une vie courageuse et tournée vers le monde. » (Heilig, p. 121)
Des personnalités telles que le pasteur Walter Nigg pour l’Église réformée ou le cardinal Kurt Koch pour l’Église catholique-romaine ont, elles aussi, relevé que la réflexion sur les saints fait avancer l’œcuménisme.
Urban Icons (modèles civils) – douze portraits
Dans la seconde partie du livre, Pia Petri Maurer illustre, en textes et images, que la sainteté n’est pas quelque chose de spécial et d’abstrait, qui est réservé à quelques personnes mais qu’elle est la vocation « normale » de l’humain en tant que visage de Dieu et qu’elle veut être vécue dans la situation concrète du quotidien.
Public-cible
La publication s’adresse à tout public intéressé par la question de savoir comment la vie et la foi peuvent réussir et convaincre dans la perspective chrétienne. Elle convient aussi pour un usage dans la formation d’adultes ou dans l’enseignement religieux.
La publication n’existe pour le moment qu’en allemand. Une traduction française est prévue.
Téléchargement
Le téléchargement du texte est possible aussi bien sur le site de la CES<http://www.eveques.ch/content/view/full/14425> que de l’EERS<https://www.evref.ch/publikationen/heilig/>. Des exemplaires imprimés peuvent être commandés gratuitement par courriel à sekretariat(a)bischoefe.ch<mailto:sekretariat@bischoefe.ch> ou bestellung(a)evref.ch<mailto:bestellung@evref.ch>.
Contacts pour les médias
Conférence des évêques suisses
Encarnación Berger-Lobato
responsable « Marketing et Communication »
berger-lobato(a)bischoefe.ch<mailto:berger-lobato@bischoefe.ch>
T +41 79 552 04 40
Église évangélique réformée de Suisse
Katharina Dunigan
responsable de la communication
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La commission de dialogue protestants/catholiques-romains de Suisse (CDPC)
Elle est une instance commune de la Conférence des évêques suisses (CES) et de l’Église évangélique réformée de Suisse (EERS). La commission de dialogue a été fondée en 1966 – suite au Concile Vatican II – et elle traite les questions pastorales liées au vivre ensemble œcuménique – par exemple les questions relatives aux mariages mixtes, à la reconnaissance mutuelle du baptême, aux services religieux œcuméniques. Dès le début, il a été tenu compte dans sa composition d’une représentation équitable des langues et des régions. Elle compte actuellement six membres.
Fribourg, 8 septembre 2020
Lien vers le communiqué de presse<http://www.eveques.ch/content/view/full/14435>
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