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Conférence des évêques suisses (CES) – Secteur marketing et communication
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Communiqué de presse
Le directeur national Patrick Renz quitte migratio
Pour la fin mars 2019, le prof. Patrick Renz quitte migratio, bureau de la Conférence des évêques suisses pour la pastorale des migrants. Renz a été nommé directeur des « Institute der Hochschule für Wirtschaft der Fachhochschule Nordwestschweiz ».
Renz souligne : « Cette décision n’a pas été facile pour moi. Je remercie la Conférence des évêques suisses, notamment l’évêque responsable pour les questions de migration, Mgr Jean-Marie Lovey, ainsi que le secrétaire général Erwin Tanner-Tiziani pour la grande opportunité rencontrée d’avoir pu œuvrer dans l’Eglise catholique en Suisse. Cela a été une grande grâce pour moi que de pouvoir m’engager pour une pastorale plus consciente de la proximité et des structures plus équitables pour le million de catholiques ayant un arrière-fonds migratoire.»
En sa qualité de directeur national, il a joué un rôle décisif en donnant une nouvelle orientation du bureau migratio et en érigeant la Commission de migration. Il a été possible pendant ce temps de donner une place importante au thème de la pastorale migratoire pour le futur de l’Eglise en Suisse et d’établir des bases solides pour un futur développement stratégique.
Le secrétaire général de la CES Erwin Tanner-Tiziani regrette le départ du directeur national, un partenaire toujours fiable et un appui professionnel solide dans le domaine de la pastorale des migrants. « Je remercie Patrick Renz pour son inlassable engagement et les impulsions précieuses dans ce domaine ; son départ laisse un vide qu’il faudra combler sitôt possible ».
La recherche du successeur/e est en cours.
Fribourg, le 30 janvier 2019
Conférence des évêques suisses
Dr. Erwin Tanner-Tiziani
Secrétaire général
Lien vers le communiqué de presse<http://www.eveques.ch/content/view/full/13525>
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Encarnación Berger-Lobato
Responsable Marketing & Communication
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Communiqué de presse
Message de la Conférence des évêques suisses pour la Journée du malade 2019 (11 février)
Bon nombre d’entre vous a vu que l’Académie Suisse des Sciences Médicales (ASSM) a édité, malgré l’objection d’institutions réputées, notamment l’organisation faîtière de la Fédération des Médecins suisses (FMH), une directive qui n’a pas été reprise par les médecins dans leur code déontologique. Par l’introduction d’un concept vague et non défini de « souffrance insupportable » dans les directives de l’ASSM, le champ d’application de l’assistance au suicide par des médecins devait être élargi. Aussi, le champ d’application des directives ASSM a été étendu aux enfants et adolescents de tous âges ainsi qu’aux patients souffrant de déficiences mentales, de handicaps physiques et de polyhandicap.
Or, chaque année, il y a davantage de personnes qui meurent de suicide que d’actes de violence, d’accidents de circulation et de drogues illégales. Pour rendre l’opinion publique attentive à la tentative d’évincer cette discussion sur la place publique, la Journée mondiale de la prévention du suicide a été organisée chaque année depuis 2003. La contradiction est manifeste : d’une part, on vise à empêcher le suicide de manière préventive, d’autre part, l’assistance au suicide n’est pas prise en compte dans la question de la prévention. Il se posait la question suivante : Y a-t-il d’une part un „bon“ (entre guillemets) suicide qui se justifierait et pour lequel s’engagent les organisations pour l’assistance au suicide, et, d’autre part, un „mauvais“ suicide qu’il faudrait empêcher de manière préventive, ce que visent les efforts de prévention étatiques ?
L’acceptation d’un „bon“ suicide est propagée par les concepts d’ «autodétermination», de «souffrance insupportable» et d’«autonomie». Celui d’un „mauvais“ suicide doit à tout prix être évité puisque ce sont exactement les motifs qui servent à justifier l’assistance au suicide qui sont remis en question ici : autodétermination et autonomie au nom desquels il serait justifié d’appliquer des mesures d’assistance et de prévention. Pourquoi cela ne s’applique-t-il pas aussi aux suicides assistés ? Chaque suicide est voulu pour lui-même et choisi par le suicidant au motif de souffrances et charges estimées subjectivement comme non supportables plus longtemps encore. Dans la plupart des cas, il est aussi planifié. Des facteurs psycho-sociaux, qui, dans les suicides, peuvent être évoqués très généralement comme des facteurs réduisant la liberté, font aussi partie, à l’âge de la vieillesse, d’un suicide réfléchi. Chaque suicide est en quelque sorte toujours un bilan subjectif avec une issue létale. Encore une fois : Pourquoi une sorte de suicide devrait être évitée de manière préventive pour les raisons déjà mentionnées, l’autre sorte en revanche légitimée et organisée de manière associative ? Tant il est vrai que les limites strictes de l’assistance au suicide propagées au début se sont avérées totalement illusoires et délibérément trompeuses : la pente glissante à qui des mises en garde ont d’emblée été adressées s’est avérée être en vérité une descente aux enfers en dépit de toutes les allégations contraires.
D’un point de vue chrétien, la vie humaine est une vie qui se reçoit de Dieu, un don de Dieu. La souffrance des forces vives qui diminuent avec l’âge, des maladies et des fins de vie ainsi que la mort font partie du fait que les hommes sont des créatures (niveau de la contingence). Cette souffrance doit être soulagée et atténuée autant que possible. Selon l’enseignement de l’Eglise, dans le plan de salut de Dieu, même les souffrances peuvent avoir une signification particulière pour les personnes concernées.
Le bien du malade ne saurait consister dans la suppression de son existence. Le soin des malades doit, d’un point de vue chrétien, primer sur tout, car la santé et la maladie sont « relationnelles ». Elles dépendent «de l’interaction avec les autres et (ont) besoin de confiance, d’amitié et de solidarité » (pape François). Dans notre contexte, il est souhaitable que cette interaction se réalise de manière à ce que nul homme ne puisse avoir l’idée de se débarrasser de sa vie. Cette année encore, le pape François rappelle dans son Message à l’occasion de la 27e Journée mondiale du malade que notre « existence ne peut pas être considérée comme une simple possession ou comme une propriété privée » et qu’elle est dès lors soustraite à toute manipulation. « La vie est un don de Dieu, et comme interroge s. Paul : ‘Qu’as-tu que tu n’aies reçu ?’ » (1 Co 4, 7). Le pape attend de nous un amour intégral du prochain et qui se donne gratuitement. Mère Teresa est pour lui un exemple incarné d’un tel amour. Elle « nous aide à comprendre que le seul critère d’action doit être l’amour gratuit envers tout un chacun ».
Avec mes meilleurs vœux de bénédiction, au nom de la Conférence des évêques suisses
• Marian Eleganti OSB
Evêque auxiliaire de Coire
Responsable de secteur au sein de la CES
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Encarnación Berger-Lobato
Responsable Marketing & Communication
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Comunicato stampa
Messaggio della Conferenza dei Vescovi svizzeri in occasione della prossima Giornata del malato (11 febbraio)
Come molti sanno, l'Accademia svizzera delle scienze mediche (ASSM) ha pubblicato delle direttive, malgrado la protesta di istituzioni prestigiose come la Federazione dei medici svizzeri (FMH), che non sono state accolte dai medici nelle loro norme deontologiche. Le direttive dell'ASSM intendono ampliare i margini dell'assistenza al suicidio facendo leva su un concetto difficilmente precisabile di "sofferenza insopportabile", estendendone l'applicazione anche a bambini e adolescenti di ogni età, così come a malati psichici e portatori di handicap di varie tipologie.
Ogni anno muoiono più persone a causa di suicidio che per atti violenti, incidenti del traffico e droghe illegali. Per rendere attenta l'opinione pubblica al problema poco conosciuto del suicidio, sin dal 2003 viene organizzata annualmente una Giornata mondiale per la prevenzione contro il suicidio. La contraddizione è evidente: da una parte il suicidio va impedito tramite la prevenzione, dall'altra si evita di affrontare il tema dell'assistenza al suicidio nella questione della prevenzione. Si pone dunque la domanda: esiste un "buon" suicidio o un "suicidio giustificato" promosso dalle organizzazioni per l'assistenza al suicidio, in opposizione a un suicidio "cattivo" da impedire tramite i tentativi di prevenzione promossi dallo Stato?
L'accettazione del "buon" suicidio viene diffusa attraverso concetti come "autodeterminazione", "sofferenza insopportabile" oppure "autonomia". Il "cattivo" suicidio, invece, andrebbe evitato in ogni modo, perché proprio quei motivi che vengono addotti per giustificare l'assistenza al suicidio, qui vengono messi in discussione (autodeterminazione e autonomia) affinché siano prese misure assistenziali e preventive. Perché tutto questo non succede anche nei confronti dell'assistenza al suicidio? Ogni suicidio viene messo in atto dal soggetto interessato che lo sceglie a causa di sofferenze e pesi ritenuti soggettivamente non ulteriormente sopportabili. Nella maggior parte dei casi, il suicidio è anche pianificato. Fattori socio-psicologici, che per ogni suicidio possono apparire come fattori che diminuiscono la libertà, fanno parte del cosiddetto "suicidio di bilancio" nella vecchiaia.
Ogni suicidio è una specie di bilancio soggettivo con esito mortale. Ancora una volta: perché una parte dei suicidi andrebbe evitata preventivamente per i motivi descritti, mentre gli altri legittimati e organizzati da associazioni? I limiti stretti all'assistenza al suicidio, annunciati in un primo momento, si sono rivelati - come si vede - un'assoluta illusione e un consapevole inganno. Gli avvertimenti formulati sin dall'inizio si sono dimostrati giustificati e i rischi reali, malgrado tutte le affermazioni contrarie.
Da un punto di vista cristiano, ogni vita umana è un dono da Dio. La sofferenza dovuta alle forze che vengono meno, alla vecchiaia, alla malattia e alla morte, fa parte della caducità umana (contingenza). Queste sofferenze vanno mitigate nel miglior modo possibile, tuttavia, secondo la dottrina cristiana, il dolore ha un significato speciale nel piano salvifico di Dio nei confronti di che ne è colpito.
Il bene del malato non può consistere nello spegnimento della sua esistenza. Preoccuparsi dei malati per i cristiani deve stare al di sopra di tutto, perché salute e malattia sono aspetti "relazionali". La salute "dipende dall'interazione con gli altri e ha bisogno di fiducia, amicizia e solidarietà" (Papa Francesco). Nel nostro contesto ciò deve avvenire in una misura tale che a nessuna persona possa venire in mente di buttare via la propria vita. Nel suo messaggio per la Giornata Mondiale del Malato di quest'anno, Papa Francesco ricorda che la nostra vita non è né "possesso" né "proprietà privata" e perciò si sottrae a ogni manipolazione. "La vita è dono di Dio, e come ammonisce San Paolo: 'che cosa possiedi che tu non l'abbia ricevuto?' (1Cor 4,7)". Il Papa si aspetta da noi un amore per il prossimo che comprenda tutti e che venga donato gratuitamente; un amore che Madre Teresa di Calcutta ha saputo incarnare. Proprio lei, col suo esempio, ci aiuti a "capire che l'unico criterio di azione dev'essere l'amore gratuito verso tutti"!
A nome della Conferenza dei Vescovi svizzeri formulo i migliori auguri di ogni grazia e benedizione.
* Marian Eleganti OSB
Vescovo ausiliare di Coira
Responsabile del settore in seno alla CVS
Link al comunicato stampa<http://www.ivescovi.ch/content/view/full/13472>
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Encarnación Berger-Lobato
Responsabile marketing e comunicazione
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